Recuerdos de la Alhambra
Datte: 26/08/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
hotel,
voyage,
amour,
revede,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
amourpass,
amourcach,
prememois,
... hôtel… Le voudrais-tu ? Cette question… — … Je ne rêve que de ça. Elle murmure : — Le jardin de mon hôtel communique avec le Généralife, je vais voir si nous pouvons entrer sans être vus… qui sait. Viens ! Dans le dédale des allées du Généralife, par les allées du jardin de son hôtel, nous avançons. Je la suis. Elle progresse lentement. Difficile de courir comme des malades pressés de se jeter l’un sur l’autre dans la première chambre venue ! Elle me laisse la suivre à distance. Impatience, crainte d’être surpris. Elle est anxieuse, et elle oublie toute prudence. Elle se hâte. M’encourage à la suivre. Une terrasse fleurie déserte. Une porte, un couloir. « Le long d’une galerie dans une construction d’un autre siècle… Un hôtel immense, luxueux… Où des couloirs interminables succèdent aux couloirs… Silencieux, déserts… Où les pas de celui qui s’avance sont absorbés par des tapis si lourds, si épais, qu’aucun bruit de pas ne parvient aux oreilles de celui qui s’avance… Colonnes, encadrements sculptés des portes, enfilades de portes… » Elle ouvre une porte. Disparaît. Je la suis. La porte se ferme… Elle la rouvre pour accrocher une petite étiquette à la clenche :No molestar. Par la fenêtre, j’entrevois le palais d’été où nous étions un instant plus tôt. Elle tire les rideaux. Mes bras se referment sur elle avant qu’elle ait fini. Je l’attire vers moi. Je l’emprisonne. Elle se laisse faire, se colle contre moi, ses bras en arrière, ses mains sur mes reins. Mes bras ...
... l’enveloppent, mes mains se croisent sur ses seins. Mes lèvres se perdent dans ses cheveux. Je respire son parfum, je le retrouve. Ivresse de tous les sens. — Oh ! Je suis vraiment folle… Mes mains courent sur son corps, sur ses vêtements, simples, tellement chics, légers. Mes mains glissent sous son corsage, sur sa peau. Mes doigts sentent sa peau frissonner. Elle s’écarte légèrement de moi, glisse ses mains sous son corsage dans son dos, dégrafe son soutien-gorge. Ses seins nus sous mes mains. Une peau fraîche et chaude, douce, ses seins aux pointes dressés. Les effleurer de la paume de mes mains…. Les agacer doucement. À moins que ce ne soit le contraire, que la pointe de ses seins n’énerve les paumes de mes mains. Mes mains qui se plaquent sur ses seins, qui les écrasent, qui l’écrasent contre moi… Quand elles descendent sur son corps, son estomac se creuse, mes doigts glissent, se heurtent à la résistance de la ceinture de sa robe. Elle se donne, dégrafe la ceinture, se défait de sa robe qui tombe à terre. Mes doigts se referment entre ses cuisses, je sens le tissu de sa culotte, chaud, trempé. Elle gémit doucement. Elle se retourne, enfouit sa tête dans mon épaule : — J’ai tellement rêvé du moment où tu refermerais tes mains sur moi, à nouveau… tu sens comme tu me troubles ? Écartant mes mains qui la tenaient par les hanches, elle se recule, défait son corsage, laisse tomber son soutien-gorge. Puis, tout en me regardant, elle retire sa culotte. Le tissu s’attarde un peu entre ses ...