Recuerdos de la Alhambra
Datte: 26/08/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
hotel,
voyage,
amour,
revede,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
amourpass,
amourcach,
prememois,
... cuisses, mes doigts l’ont collé sur les lèvres de son sexe. La culotte tombe, elle se tient nue, impudique, sans la moindre gêne. Je prends sa main. Je l’attire vers le lit, je l’ouvre, nous tombons enlacés… Je fais tomber mes chaussures. Je l’embrasse. Je retire mes vêtements. Je la caresse. Je lance ma chemise, mes chaussettes par terre. Je la caresse. Je l’embrasse. Mes lèvres goûtent sa peau, sucent la pointe d’un sein. Elle m’aide à me déshabiller, embrasse mon épaule. Elle ouvre ma ceinture… Quand mon pantalon tombe par terre, je suis au bord de l’orgasme. Je me retiens, je retiens sa main… — Attends, attends… Je ne vais pas pouvoir me retenir, si tu me touche encore ! Complètement nu, je la prends dans mes bras, essayant dans le même temps de ne pas appuyer les contacts et de satisfaire le besoin de coller mon corps contre le sien, de sentir sa peau. Rassasier mes sens et faire baisser un peu la tension. Me calmer avant la tempête… Espérant profiter de ce calme improbable qui ne vient pas, de l’attente. La respirer, sentir sa peau, son corps souple sous mes caresses se coller contre moi à la recherche de mon sexe… — Prends-moi, murmure-t-elle, comme une prière. Je ne tiens plus, prends-moi. Ce fut bref, violent, presque sauvage. Je la pénétrai doucement. Puis nous avons été emporté par la tempête. Dans la chaleur, la pénombre, deux corps fous se sont embrasés. Sans retenue. Ses jambes nouées sur mes reins. Offerte. Ses reins lançant son ventre vers moi. Ouverte, ...
... cherchant à recevoir mon sexe au plus profond du sien. Mes reins poussant mon corps, mes cuisses frappant ses fesses. Mon sexe s’enfonce, se retire, la reprend. Tendu comme jamais, je la remplis, le gland roulant sur le fond de son ventre. Des corps hors contrôle. Au-delà de la quête du plaisir. Une violente communion, une fureur sacrée. Comme si deux années de rêves, de souvenirs, de désirs se déchargeaient d’un coup. L’orage a soudain atteint son paroxysme. Une brutale déflagration nous emporte simultanément. Ses dents se sont plantées dans mon épaule – pour étouffer ses cris, s’excusa-t-elle plus tard –, la douleur renforçant mon excitation… Des éclairs violents traversent mon cerveau. Nos corps se tendent, se tordent. Je sens mon sperme monter le long de mon sexe. Je gémis, je crie presque, elle colle ma tête sur son épaule. Longtemps encore, nos corps se tordent, se cherchent, jambes enlacées, enchevêtrées. Des positions douloureuses qu’il faut dénouer doucement, riant presque. Je regarde mon épaule, passe mes doigts sur une morsure qui saigne. Elle regarde à son tour, passe ses doigts sur la morsure qui saigne… — Comment ai-je pu faire cela ? Tu me rends folle ! Mais je ne regrette pas ! J’ai tellement espéré te revoir… Deux ans de désirs. Parfois mon ventre me faisait mal. Combien de fois je me suis soulagée, pensant à toi. Je me faisais jouir en rêvant de ton corps, de ta bouche, tes yeux, tes épaules, ton ventre, ton sexe, le goût de ton sperme… Tout cela vient d’exploser ...