1. Recuerdos de la Alhambra


    Datte: 26/08/2021, Catégories: fh, fplusag, hotel, voyage, amour, revede, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, amourpass, amourcach, prememois,

    ... en moi en une minute ! Comment puis-je te dire cela !— J’ai fait la même chose… J’ai pensé à toi, endormi, éveillé, j’ai rêvé de toi. J’ai revu ton corps, tes yeux, tes seins, la fourrure de ton ventre. J’ai rêvé du goût de tes lèvres, du goût des baisers que j’avais déposés sur ton sexe, de la liqueur qui avait coulé sur ma langue quand elle t’avait fouillée. Rêvé du moment où tu m’avais donné ce que tu n’avais jamais laissé personne prendre. Rêvé des mots, de nos mots, de nos gestes. Je me souviens de cette chambre, au milieu de laquelle tu étais étendue sur le grand lit. J’entendais le son de ta voix. Je n’ose pas te dire mes rêves…— Dis-les moi… Ne vois-tu pas que nous devons tout nous dire ?— Plus tard… J’aime ce silence autour de nous, cette pénombre. Faire l’amour l’après-midi, dans un palais arabe, se laisser aller à la fatigue qui saisit le corps alangui par l’amour… il y a quelque chose des mille et une nuits… Mais si tu pries à nouveau pour me revoir, dis-lui qu’il me fasse penser à prendre une protection pour mes épaules… Elle rit, me fait taire d’un baiser. Allongée sur moi, elle pose la tête sur mon épaule. — Tu as raison, profitons un peu du silence. Son corps est doux au mien. Ses formes s’adaptent à mon corps sur lequel elle repose, et le réjouissent. Mes mains la caressent. Mes doigts la frôlent, explorent son corps. Elle somnole, et bientôt emportés par la torpeur des sens après l’amour, nous dormons, tous les deux, un bref moment. — Dis-moi tes rêves ! ...
    ... Mes mains parcourent son corps, doux sous mes caresses, doux à mes doigts. Nous commençons un long dialogue murmuré. Nous disant ce que je ne pensais pas que l’on pouvait dire. Dans le creux du lit, sous le drap, ce qui me semblait obscène prend des allures de tendres confidences, de conversation amoureuse. — Mes rêves de toi, je les ai tellement répétés… je n’ose pas te les dire, ils sont… crus, tellement crus… Ce que nous avions fait, que je n’avais jamais fait, ce que nous nous sommes dits, que je n’avais jamais dit, ni entendu… J’en ai si souvent rêvé. Et devant toi, j’en ai presque honte.— Tout à l’heure, tu m’as prise dans tes bras. Sans retenue, tu m’as caressée… je me suis déshabillée, présentée nue, debout devant toi. Parce que je l’avais rêvé. Je m’étais si souvent imaginée notre rencontre, imaginée que je m’offrais, que je te donnais mon corps sans restriction. C’est ce que je voulais te dire en me déshabillant. J’aurais pu dire des choses bien plus fortes encore… Je n’ai pas osé, et je n’ai pas eu le temps de les dire (rire) qu’elles étaient en voie d’être exaucées… Je voulais te dire, au moment où je me trouvais nue "Baise-moi ! Baise-moi !" Je voudrais que tu me dises ton envie de moi, tes rêves, tes désirs… Je voudrais les entendre, les satisfaire… Dis-moi tes rêves…— Je revivais dans mes rêves tout ce que nous avons connu, fait, dit. Combien de fois j’ai redansé cette première danse, revécu le moment où tu m’as tutoyé, où tu t’es collée contre moi, à ma grande ...
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