Soirée étudiante : l'apprentissage continue - Histoires de Sexe

Soirée étudiante : l'apprentissage continue

... se glissa directement, sans hésitation, sous le string. Le contact du ventre chaud, de cette peau douce, provoqua une contraction de son membre dur, s’imaginant ce qu’il allait découvrir avec ses doigts. La descente fut rapide, et c’est ainsi qu’il sentit que la peau douce et lisse laissait place à des poils très courts et raides, signe d’une toison rasée il y a quelques jours. La surface couverte par ces derniers dessinait un triangle étroit sur l’entrejambe de la belle jeune femme. Arrivée ici, sa main s’arrêta au milieu de cette forêt déboisée. Alors seul son index déplié reprit la route du sud. En un instant il arriva sur le début d’une fente trempée et dilatée. Le contact avec le clitoris gonflé étant quasiment immédiat. L’homme ne put que constater l’effet sur Marie dont le bassin eut une contraction. Marie était aux anges, bien que concentrée – sur les gestes et sur l’environnement – et sérieuse. Mais le plaisir était bien là. L’index roulait et parcourait de bas en haut puis de haut en bas sa fente qu’elle sentait suinter. C’était un plaisir exquis et, étonnamment, les gestes mesurés lui rappelaient cette fois les caresses de son professeur. Pour le garçon, cette séance de découverte et de caresses était un petit rêve, la belle jeune femme ayant un peu plus écarté les jambes, avait le souffle court et des petits gémissements impossibles à retenir et difficilement masqués par leurs baisers. Dans sa tête, le jeune homme imaginait la cartographie des lieux, s’amusant ...

... avec ce qu’il savait être le clitoris, effleurant et caressant les lèvres trempées. Alors, délicatement, il décida de continuer son amusement : l’index se présenta à l’entrée de la caverne et s’inséra, faisait tressaillir Marie. Son index s’enfonça un peu, au maximum en fait, dans la cavité qui était très chaude et complètement trempée, son doigt baignant dans le jus d’amour. De temps à autre il ressortait pour rentrer doucement, effleurant au passage le mont de Vénus d’une jeune femme qui masquait avec difficulté son plaisir. Le ballet du doigt avec décuplé les sensations de Marie. Les gestes lui faisaient terriblement penser à son mentor, à son professeur à côté, et elle s’imaginait que c’était lui qui était à l’œuvre. Les petits bruits peu sexys au milieu du mouvement du doigt ne l’empêchaient pas d’avoir la tête qui tournait, et elle n’était plus avec le garçon, mais bien avec son professeur. Du coup, un sentiment de gêne l’envahit : elle avait l’impression de se rabaisser à se laisser tripoter par un garçon inconnu. Malgré le plaisir, elle considérait cela comme inapproprié, elle n’était pas ce genre de fille, elle était allée trop loin. C’est donc ironiquement au moment où elle était brûlante qu’elle se dit STOP ! Elle décolla sa bouche et dit « Je vais y aller, mes copines m’attendent. » avec un petit sourire de réconfort pour la mâle frustré qui eut bien du mal à masquer sa déception. Alors le doigt quitta son aire de jeu, les élastiques claquèrent, Marie se réajusta et ...