Soirée étudiante : l'apprentissage continue
Datte: 26/08/2021,
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... ils retournèrent, ni vus ni connus, dans la grande salle où la fête battait encore son plein, dans le silence total, le garçon ayant compris que c’était le coup de sifflet final. L’arrêt de l’ébat avait été très bref, une dizaine de secondes, et c’est deux jeunes gens frustrés et excités qui rentrèrent dans la salle. Pour Marie, néanmoins, l’entrejambe en feu appelait à autre chose. Elle voulait son prof. Avec inquiétude elle le chercha du regard ; elle le trouva de suite, toujours à la même place avec les mêmes personnes. Se servant à boire, la jeune femme se posait des questions : que faire ? Plus tard ? Maintenant ? Rentrer ? Son string trempé et le souvenir tout récent du jeu des doigts du garçon la convainquirent. Elle eut alors une idée osée, quelque chose qui encore quelques mois plus tôt ne lui serait même pas venue à l’esprit. Elle songea à une remise, dans un coin de l’entrepôt jouxtant la salle de la fête, qu’elle avait aperçue tout à l’heure lors des préparatifs. Marie se rendit discrètement dans la pièce en prenant soin de ne pas être suivie. Au fond de l’entrepôt, désert hormis deux tourtereaux qui s’embrassaient, appuyés contre le mur à côté de la sortie. La remise était ouverte et éteinte. Elle entra dedans et après une dernière vérification que personne ne la voyait, ferma la porte et alluma la lumière. Debout, elle se questionna quelques secondes. Derrière la porte, une étagère bien remplie masquait le fond de la petite pièce. Elle y remarqua qu’on y était ...
... tranquille, laissant le temps de réagir si quelqu’un entrait. Debout, immobile, elle se posait encore des questions. Avait-elle encore envie ? Une pression interrogative sur son minou lui confirma qu’elle était encore en feu, et ce malgré l’épaisseur des tissus. Elle retira sa main de dessous sa jupe pour à nouveau hésiter, réfléchir. Devant elle, un banc sans montant, comme dans un magasin de chaussures, avec une extrémité contre le mur. Excitée, chauffée et enivrée, elle voulait se faire plaisir, sexuellement bien entendu, mais également ajouter le côté excitation, interdit, risque – très modéré. Elle voulait aller vite, rejoindre ses amis, se décharger, et jouir dans un endroit inconnu. Alors elle s’assit à califourchon sur le banc, appuyée contre le mur. Elle écarta les jambes et se courba un peu pour mettre plus en évidence son bassin. Alors doucement, elle commença à se caresser. Les yeux clos, par-dessus le tissu d’abord. Puis la machine relancée, elle glissa sa main sous son string, et avec deux doigts commença à se toucher le minou, le clitoris, sans retenue, avec frénésie. Son autre main ne resta pas longtemps inactive : elle se glissa sous le soutien-gorge pour venir titiller un téton qui redevint dur très rapidement. Elle était lancée. Durant cette séance de plaisir solitaire, Marie se laissa aller aux souvenirs partagés, entre son professeur, mais également le jeune garçon qui l’avait mise dans cet état-là quelques minutes plus tôt. L’excitation montait. Marie ...