Question de principes
Datte: 16/11/2017,
Catégories:
fh,
fhhh,
extracon,
nympho,
sf,
extraconj,
... Arrivée à l’orée de l’anus, des doigts écartant ses fesses puis elle se sent introduite. Elle halète, l’excitation est forte ! Pourtant ce n’est pas la première fois qu’on l’entreprend par cette voie obscure ! — Oooh ! Décidément, tu lui en veux, à mon petit trou du cul !— L’appétit vient en mangeant ! Et ton petit trou du cul est très appétissant ! Impitoyablement, il tournoie délicatement ses doigts avant de ressortir. Elle en pousse un soupir de soulagement et de déception. Il avise alors divers coussins, la soulève pour aller les glisser sous ses fesses, face à lui. Puis à genoux, il replonge dans sa chatte et recommence le va-et-vient entre sa fente et son petit trou un peu entrouvert. Elle le regarde faire, haletante, se doutant bien de ce qu’il veut d’elle. Parfois, il se recule pour mieux la voir, la contempler, matant son sexe béant, ses seins lourds, son visage plein de désir et de légère appréhension. La masturbant fermement et efficacement, il plonge son sexe dans sa chatte qu’il ramone quelques secondes puis s’en va se positionner plus bas, contre une petite cuvette bien humide et entrouverte. Il interrompt sa masturbation pour poser la main de Marceline sur sa chatte : — Masturbe-toi ! Branle-toi ! Donne-toi plein de plaisir !— Oui, mon chéri ! Décidément, on lui a changé son Marcelin, songe-t-elle ! Puis posément, lentement, il entreprend de pousser son gland dans l’étroit conduit. Elle serre les lèvres, se masturbe, sentant comme un truc énorme fouir en ...
... elle. Ce n’est pas possible, pense-t-elle, son truc n’a pourtant pas grossi depuis ce matin ! Respirant fortement, le cul forcé, elle s’acharne sur sa chatte. Alternant poussées et pauses, Marcelin a maintenant la moitié de sa tige en elle. Une sensation étrange monte en elle. La sentant se relâcher, il pousse son avantage et s’enfouit en elle, ses couilles battant ses fesses. Il la regarde droit dans les yeux, lui pince les seins et une dernière fois, la dévisage, scrute posément son air haletant, sa bouche entrouverte, ses yeux luisants et ses joues cramoisies. Le fait qu’il la possède au plus intime et qu’il la mate sans vergogne immerge Marceline dans une émotion obscure. Son regard perçant contemple ses seins gonflés, son ventre arrondi, son sexe humide et béant puis s’attarde sur son anus perforé, rempli et possédé. — Tu es un beau salaud, mon amour !— Je suis celui qu’il te faut, ma belle allumeuse ! Il commence son lent mouvement tandis qu’il lui pelote les seins. La sensation est forte, sa possession absolue. Avide, il torture ses pointes, roule des mamelons, griffe délicatement ses aréoles. Durant ce temps, la tête renversée, elle se masturbe comme une folle, gémissant sans retenue. Il mélange ses grognements sourds à ses petits cris, la limant, l’échaudant tandis qu’elle sombre dans un tourbillon de fine douleur et de plein plaisir. Les yeux révulsés, elle explose en une kyrielle d’élancements de bien-être, ses contractions pulsent autour de la queue qui la perfore, ...