1. Question de principes


    Datte: 16/11/2017, Catégories: fh, fhhh, extracon, nympho, sf, extraconj,

    ... cette bite qui gicle à son tour en elle, la remplissant, l’obturant. Comblée, béate, les sens en folie, elle ferme les yeux, se laissant dériver… Quelque temps après, affalée sur le ventre, avachie, repue, elle flotte dans un brouillard bienfaisant, quand, soudain, elle entend : — Alors, tu m’épouses ?— Pff ! Et si je te disais « non » ? Pour toute réponse, il se vautre sur elle, retrouvant sans effort le chemin obscur niché entre ses fesses, et vient se planter sans effort dedans. — Mais… mais t’es encore raide ? Tu viens juste de juter !— Non, Madame, je suis à nouveau raide ! Nuance ! Tout comme je suis raide de toi, même si tu ne le mérites pas !— Voyez-vous ça ! Sans se donner la peine de répondre, il s’enfonce au plus profond, elle tressaille sous l’impact, puis s’affaissant sur elle, il lui mordille le cou tout en murmurant : — Ah oui ? Tant que tu ne m’auras pas dit oui, je continuerai !— Vantard, tu ne tiendras pas la moitié de la nuit !— Tu sais qu’il existe des petites pilules très efficaces pour les hommes ?— Quoi? Ne me dis pas que… Il lui donne divers coups de reins pour lui démontrer que sa tige est d’acier, et qu’elle compte le rester encore longtemps. Puis se plaquant encore plus contre elle : — À toi de voir jusqu’où tu tiendras… D’autant que je sais que tu t’es déjà envoyée en l’air ...
    ... durant la journée…— Et tu tiens ça d’où ?— Je le devine ! Elle se tait, comme un aveu. Tandis qu’il arrive à se saisir de ses seins écrasés, elle proteste : — Donc tu vas me violer jusqu’à ce que je te dise oui, c’est ça ?— C’est ça !— Donc si je veux que ça dure, il suffit que je dise non, n’est-ce pas ? Il marque un petit temps d’arrêt avant de rétorquer : — Pas faux, mais plus tu attendras pour dire oui, plus j’augmenterai l’espacement de tes à-côtés.— Comment ça ?— Un jour de pause pour chaque jouissance que j’aurai réussi à t’arracher !— Un jour de pause par… Ah non !— Alors ? Mi-figue, mi-raisin, elle tourne la tête vers son tourmenteur pour lui demander : — Et si je dis ton fichu « oui », là, tout de suite, il se passe quoi ?— Je te viole quand même, mais sans l’histoire des pauses…— Ah oui ? Promis ? Tu me violes quand même jusqu’au bout ?— Jusqu’au bout de mon bout !— T’en con, toi ! Sadiquement, il presse rapacement ses seins tandis qu’il mordille son cou ; elle gémit. — Avec ce que j’ai avalé comme pilules, je n’ai pas d’autres choix que d’aller jusqu’au bout de la nuit !— Ah s’il faut soulager mon Marcelinou, je veux bien me sacrifier !— Alors, tu me dis « oui » ? Elle le lui dira bien des fois avec passion, avec ferveur, durant cette nuit d’anthologie et durant bien d’autres jours et nuits… 
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