1. Mon voisin, M. C*** (2)


    Datte: 26/08/2021, Catégories: Gay Première fois

    ... minutes, signe que la soirée de la veille avait été particulièrement arrosée. Mais à mesure que le flot de pisse s’épuisait je sentais la queue que j’avais en main gonfler...Quand il eut terminé sa petite affaire, M. C*** m’attrapa par la gorge et m’embrassa goulûment. Incapable de réagir, je laissai mon voisin fouiller ma bouche de sa langue experte. Était-ce la pression qu’il exerçait sur mon cou ou le plaisir d’être dévoré par l’homme sur lequel je fantasmais depuis deux ans au moins ? Je ne saurais le dire, mais ce qui est certain c’est que j’étais comme enivré par la situation et que des frissons d’excitation parcouraient tout mon corps. Dans mon caleçon, je sentais mon chibre grossir et du liquide séminal perler de mon méat. Instinctivement, je commençai à caresser d’une main le torse poilu de M. C*** tandis que l’autre alla malaxer doucement ses couilles et sa verge. Après quelques minutes de ces douces caresses, mon voisin éloigna mon visage du sien et, les yeux pétillants, déclara :- Maintenant, je vais goûter à ta petite chatte de pédé ! Tu sens bon. J’espère que tu t’es bien nettoyé, ce matin ?- Oui, répondis-je avec d’autant plus d’appréhension que j’étais encore vierge et que le chibre de M. C*** me paraissait gigantesque, avec ses 20 cm de hauteur et ses 5 ou 6 cm d’épaisseur.Nous retournâmes donc dans ma chambre, où mon voisin m’intima l’ordre de me mettre à quatre pattes sur le lit, la tête posée contre un coussin. A genoux par terre, il me mit une bonne ...
    ... claque sur le derrière et me gratifia d’un « t’es une bonne pédale obéissante ! ». Puis, il passa sa main sur mon dos et embrassa la fesse qu’il n’avait pas frappée. Il enfonça ensuite son visage barbu entre mes deux collines imberbes tout en se branlant doucement. Sa langue commença alors à caresser mon petit trou, qui était complètement serré. Je la sentis s’activer tout autour de mon intimité, ce qui eut pour effet de me faire gémir. Le plaisir montant et le rythme de ma respiration s’intensifiant, j’eus la surprise de sentir mes sphincters se détendre progressivement. Sentant cela, M. C*** commença à pénétrer mon petit trou avec sa langue. Ce faisant, ma respiration devint encore plus rapide, et ma bite, qui s’était ratatinée à cause de la peur de me faire transpercer par M. C***, se mit à gonfler peu à peu entre mes cuisses.Après quelques minutes, mon voisin cracha sur mon cul et s’humecta un doigt. Il le plaça alors à l’entrée de mon intimité, qu’il massa délicatement durant de longues secondes. Puis, il porta son doigt à ma bouche pour que je le suce à mon tour. Quand je me fus exécuté, il cracha à nouveau sur ma raie et pénétra d’un coup mon petit trou, ce qui me fit tressaillir. La sensation n’était pas du tout agréable et je débandais d’un coup, ce qui ne semblait pas du tout être le cas de M. C*** ! Peut-être conscient de l’effet qu’il me faisait, mon voisin me claqua à nouveau les fesses tout en faisant de petits mouvements à gauche et à droite pour ouvrir ma cavité. ...