1. Mon voisin, M. C*** (2)


    Datte: 26/08/2021, Catégories: Gay Première fois

    ... Puis, il se retira et se dirigea vers le plateau repas que j’avais préparé pour lui un peu auparavant. A ma grande surprise, il saisit la plaque de beurre que j’avais sortie, en coupa un morceau et revins se positionner derrière mon cul !- Détends-toi, tu vas voir que tu vas aimer avoir ma bite dans ta petite chatte de pédé, me déclara-t-il.Il me badigeonna alors délicatement le trou avec le beurre et remit son doigt bien gras à l’intérieur. Sans être agréable, la sensation me parut moins douloureuse qu’au premier passage, car mon anus s’était un peu détendu. Mon voisin dut le remarquer puisqu’il décida bientôt de me mettre un deuxième doigt. Tandis que je grimaçais et suppliai M. C*** d’y aller doucement, celui-ci semblait prendre son pied à jouer avec mon intimité. Au bout d’un long moment, mon cul commença vraiment à se détendre et mon voisin reprit du beurre, pour graisser sa queue, cette fois.- On va passer aux choses sérieuses, maintenant ! me dit-il.- Allez-y doucement, demandais-je à nouveau, ce qui me valut une bifle à laquelle je ne m’attendais pas !- C’est moi qui donne les ordres, ici ! eus-je droit pour seule réponse.M. C*** décalotta ensuite son gland soyeux, le graissa et le présenta à l’entrée de mon cul, qu’il pénétra progressivement. A mesure que son pieu viril entrait en moi, une violente douleur se propageait dans mon bas-ventre et des larmes se mirent à couler sur mon visage. Pourtant, je n’avais aucune envie que mon voisin s’arrête et pas un moment je ...
    ... ne songeais à lui demander de se retirer de mes entrailles. Être possédé par lui m’avait mis dans un état second et, à ma grande surprise, mon cul sembla épouser progressivement ses dimensions. C’était heureux, d’ailleurs, car une fois M. C*** entré entièrement en moi, il m’empoigna les hanches et commença à me limer, d’abord lentement puis de plus en plus rapidement. Soumis à ce va-et-vient, je recommençai à gémir de plaisir et à bander.- Tu aimes, p’tit pédé ?, demanda mon voisin.- Ouiiiiiiiiiiiiiiii ! répondis-je, de manière un peu caricaturale mais non simulée.Satisfait de ma réponse, M. C*** me releva tout en continuant à me pilonner. Cette position était moins fatigante pour moi mais elle permit surtout à mon amant de me serrer à nouveau la gorge en passant un bras autour de mon cou et de me titiller les tétons. Les mains libres, je pus quant à moi m’astiquer le jonc, comme j’en mourrais d’envie depuis plusieurs minutes. Pendant qu’il me limait, je sentais les couilles de M. C*** taper contre les miennes et son torse dégoulinant de sueur se plaquer contre mon dos. De temps en temps, il me léchait l’oreille droite ou y glissait un juron (« putain, t’es une bonne petite chienne ! »), ce qui me faisait gémir encore plus bruyamment. A l’intérieur de moi, le plaisir était intense car le chibre de mon voisin tapait contre ma prostate, ce qui avait pour conséquence de me faire mouiller comme jamais je ne l’avais fait auparavant. Pour la première fois de ma vie, je n’étais plus ...