1. La détresse de l'aide soignante (2)


    Datte: 26/08/2021, Catégories: Hétéro

    ... le traitement que je lui infligeais, que rapidement ma main sur sa bouche n’eut plus aucune utilité. Je l’ai donc passée dans ses cheveux, que je tirais pour l’obliger à se cambrer plus. qeyqrrpt La bête en moi était maintenant bel et bien sortie. Mes coups de reins étaient bestiaux, je grognais de plaisir, et son cul rougissait au fur et à mesure que je la fessais. Je sentais bien que dans cette position, et dans cet état d’excitation, je n’allais pas pouvoir durer très longtemps. Aussi je me suis penché au-dessus de Julie et lui ai ordonné de se toucher en même temps. Je voulais que pour son premier soir sous mon joug, elle jouisse comme elle ne l’avait pas fait depuis très longtemps. Elle s’est exécutée avec plaisir, et j’ai vu sa main disparaître entre ses cuisses. Elle n’a pas mis plus de cinq minutes à atteindre l’orgasme, criant, et cambrant son corps un peu plus encore. J’ai senti tous les muscles de son corps se tendre, et cela a provoqué mon point de non-retour quasi immédiatement. J’ai cependant décidé de sortir de son sexe encore palpitant juste avant l’éjaculation, préférant me répandre sur ce cul magnifique. Je noyais ainsi sa raie sous mon sperme en grognant comme un animal. Il nous a fallu encore deux ou trois minutes pour reprendre nos esprits. C’est Julie qui a brisé le silence qui régnait désormais dans le ...
    ... salon. — Merci Marc, m’a-t-elle soufflé, les yeux encore fermés. Merci infiniment. — C’était avec plaisir. J’admirais le spectacle auquel je venais de participer activement. Julie avait toujours une main entre ses cuisses, l’autre lui permettait de tenir à quatre pattes sur le canapé. D’entre ses jambes coulaient nos sécrétions mélangées. J’ai alors remonté sa culotte, restée enroulée à mi-cuisses, prenant bien soin d’emprisonner tout ce jus, de bien imbiber le tissu. — Comme ça tu en auras un peu pour ce soir, lui ai-je, avant de claquer son cul avec un peu moins de force cette fois-ci. Julie s’est enfin retournée, et m’a souri. — Merci, me dit-elle à nouveau. Je crois qu’il serait temps que je rentre, à présent. — Tant que tu reviens demain... — Evidemment. Et Raymond alors ? Elle m’a fait un clin d’œil avant de se relever et de se rhabiller, avec beaucoup moins de pudeur que lors de son effeuillage. Puis elle a récupéré ses affaires et sans rien dire d’autre, a ouvert la porte d’entrée. Je l’ai regardé, nu, assis sur le canapé déformé par nos assauts répétés, et avant qu’elle ne parte, je lui ai dis : — Julie ? — Oui ? — Tu seras ma chienne jusqu’à la fin de mon séjour ici. Ça te va ? — Oui. Avec plaisir Marc. Et elle a quitté la maison de son patient. Quant à moi, je suis resté assis un moment, réfléchissant déjà à la suite. 
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