Perle Noire
Datte: 16/11/2017,
Catégories:
volupté,
f,
h,
fh,
fhh,
couleurs,
profélève,
uniforme,
grossexe,
piscine,
gymnastiqu,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
entreseins,
facial,
Oral
... ensuite dans la piscine. Du coin de l’œil, elle surveillait le petit manège de l’homme et, comme la veille, elle le vit disparaître dans la maison puis vers la lingerie. Elle venait de passer la journée avec un truc qui n’avait de soutien-gorge que le nom et la pointe de ses seins n’avait pas cessé de frotter sur le tissu un peu rêche de son chemisier d’uniforme. Quant au string, n’en parlons pas : ses lèvres et son clitoris en étaient presque douloureux d’avoir été aussi longtemps dans un tel état d’excitation… L’eau relativement fraîche ne l’avait pas calmée pour autant. Elle sortit de l’eau sans faire de bruit, puis se dirigea vers la pièce où se trouvait Djibo. Que voulait-elle au juste ? Elle n’en savait rien. En tout cas, son intention n’était pas de le surprendre pour le virer ; elle était parfaitement satisfaite de son service… Parallèlement, même si elle ne craquait pas pour les Blacks, il n’y avait strictement aucun racisme là-dedans ; après tout, elle ne craquait pas non plus pour les rouquins. Cela faisait plusieurs mois qu’elle n’avait pas fait l’amour ni même simplement vu un sexe d’homme. Et en regarder un furtivement, en train de se branler en pensant à elle, était par contre quelque chose qu’elle n’avait jamais connu mais qui l’amusait et l’excitait en même temps. Elle se faufila discrètement dans la maison, se guidant sur le petit bruit humide qu’elle entendait du côté de la lingerie. De l’escalier qui menait à sa chambre, elle surplombait une lucarne qui ...
... donnait sur la pièce en question. Le spectacle qu’elle vit la cloua sur place : la main de Djibo allait et venait sur un énorme bâton de chair dont elle ne cachait qu’une moitié à peine. L’énorme gland violacé lui semblait presque irréel… Les yeux exorbités, elle comprenait enfin ce que son frère lui avait dit : ceux qui avaient connu les « joies » du service militaire et des douches communes où l’on se retrouvait à trente la savonnette à la main, parlaient parfois des Noirs aux queues gigantesques ; et elle en avait une là, sous les yeux… Oh, ils disaient bien que tous n’en avaient pas une énorme ; mais si un Blanc sur cent en avait une grosse, chez les Blacks c’était plutôt un sur dix… Tandis qu’elle bougeait légèrement pour mieux voir, son pied glissa et elle dévala l’escalier sur les fesses, escalier qui – comme de bien entendu – était en face de la porte de la lingerie où elle fit une entrée fracassante. Si une camera ait eu la bonne idée de filmer ce moment précis, voilà une séance qui aurait sans doute raflé tous les prix pour un vidéo-gag un peu libertin. Elle, toujours trempée et en maillot de bain, allongée sur le ventre à moitié assommée devant la machine à laver, et Djibo toujours la queue dans une main et un triangle de dentelle trempé de mouille dans l’autre. Pour lui, le monde s’effondrait : il était sûr d’être en train de vivre ses derniers instants de vie professionnelle au service de cette patronne et de la compagnie. Pour Estelle, les choses étaient quelque ...