1. Perle Noire


    Datte: 16/11/2017, Catégories: volupté, f, h, fh, fhh, couleurs, profélève, uniforme, grossexe, piscine, gymnastiqu, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation entreseins, facial, Oral

    ... en retard… Vêtue d’un simple peignoir, elle passa en trombe devant lui et se précipita dans la salle de bain. C’est alors qu’enroulée dans une serviette, elle s’aperçut qu’elle avait oublié ses vêtements, restés auprès de son lit. — Djibo, tu peux me ramener mes vêtements ? Et puis, j’ai oublié aussi, ramène-moi un soutif et une culotte… Il n’en croyait pas ses oreilles. Il parvint quand même à articuler : — Euh, vous voulez quel ensemble ? Il ne rêvait pas, là ? Il l’avait bien entendue répondre quelque chose dans le genre « n’importe, choisis celui qui te plaira » ? Abasourdi, il choisit tout de même un ensemble particulièrement minuscule, avec un string si petit qu’il ne pouvait pas – il en était certain – réussir à couvrir toute l’intimité de sa patronne. Quant au soutien-gorge, soit il en manquait un morceau, soit il ne comprenait pas… Il frappa à la porte. Estelle, toujours vêtue de son peignoir, ne put s’empêcher de sourire en voyant l’ensemble qu’il avait choisi. Mais le temps pressait… À peine quelques minutes plus tard, elle sortit de la salle de bain, ayant revêtu son uniforme. Djibo ne pouvait pas savoir que cet ensemble qu’il avait retenu, elle ne le portait en fait que pour aller à des rendez-vous galants ou quand elle se sentait d’humeur particulièrement coquine. Le string ne cachait effectivement pas la moitié de sa petite touffe blonde, tout en entrant largement dans sa fente à chaque mouvement. Quant aux bonnets du soutif, ils laissaient libre une bonne ...
    ... partie des aréoles de ses seins ainsi que, bien entendu, les pointes. Déjà l’on klaxonnait à la porte, on venait la chercher. La journée d’Estelle allait être à deux faces : aussi sérieuse dessus que débauchée dessous… Comme elle l’avait prévu, les deux forts en gueule étaient devenus des anges. Elle faisait un contrôle à sa classe – une interro, comme on dit souvent – et surveillait la salle, assise sur une chaise tout en haut de l’estrade. Placée où elle était, seuls eux deux pouvaient voir ses jambes, ou plus exactement le peu de mollets que sa longue jupe dévoilait. Comme elle avait remarqué que leurs regards étaient fixés sur elle, souriant intérieurement, elle croisa les genoux, remontant la fameuse jupe assez haut. Estelle était absolument sûre qu’ils n’avaient rien pu voir qui mérite de fouetter un chat, mais cela n’empêcha pas leurs visages de se transformer en feux de signalisation, quelque chose entre le homard et la pivoine. Lorsqu’elle rentra le soir, Djibo était encore en train d’arroser ; cette fois, il s’agissait de la pelouse. Dans ce pays où l’immense majorité de la population ne disposait probablement que de l’équivalent d’un verre d’eau par jour pour se laver, cet immense tapis impeccablement vert était une injure supplémentaire à la logique. Il ne l’entendit pas entrer, et continua tranquillement son ouvrage. Estelle, quant à elle, quitta bien vite ses vêtements qui lui collaient à la peau pour aller plonger comme à son habitude d’abord dans son maillot et ...
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