Perle Noire
Datte: 16/11/2017,
Catégories:
volupté,
f,
h,
fh,
fhh,
couleurs,
profélève,
uniforme,
grossexe,
piscine,
gymnastiqu,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
entreseins,
facial,
Oral
... tissu et son sexe, écarta ses lèvres. Le renflement du string ressemblait à une petite bite qui entra instantanément en elle, lui provoquant une succession d’ondes de plaisir. Elle attendit quelques instants que cette sensation délicieuse se calme quelque peu, reprit son souffle, puis tira presque brutalement sur le tissu, faisant entrer l’étoffe entre ses lèvres. Le contact froid d’une pastille de métal en relief cousue à l’intérieur du string et qui appuyait directement sur son clitoris la fit vibrer de nouveau, à deux doigts de défaillir de bonheur. C’est presque avec précaution qu’elle descendit l’escalier, chaque pas, chaque marche faisant vibrer ses seins attachés par les tétons à cette chaîne qui l’ébranlait jusqu’au fond d’elle-même, titubant presque à force d’essayer de retenir son plaisir. Les anciens propriétaires, sûrement soucieux de leur forme mais peu enclins à sortir dans la rue – fut-elle sécurisée comme elle l’était dans cette résidence – avaient laissé tout un matériel digne d’une salle de musculation. Elle grimpa sur le tapis de marche et l’enclencha à sa plus petite vitesse. Las, elle n’eut pas le temps d’en profiter bien longtemps ; le contact de la chaîne froide sur sa peau, les éclisses qui martyrisaient le bout de ses seins et que chacun de ses mouvements, aussi doux soient-ils, amplifiaient, sans compter ce minuscule gode qui agaçait l’entrée de sa chatte et la pastille de métal froid sur son clitoris, tout cela en fut trop. Un orgasme terrifiant ...
... l’emporta comme le fétu de paille sur la mer déchaînée. Quasiment éjectée de ce fameux tapis, elle s’effondra sur l’immense peau de tigre, vestige d’un autre temps, qui trônait sur le sol tandis que tout son corps était secoué de spasmes. La tempête dans son crâne et dans son corps cessa enfin ; elle se retrouva face aux énormes dents du tigre en rouvrant les yeux. Elle sursauta d’effroi, le temps de comprendre que le félin en question était mort sûrement depuis des décennies, et se releva péniblement. Tandis qu’elle retournait, calmée, dans sa chambre pour ranger son accoutrement, elle repassa devant l’immense miroir et, devant le spectacle qu’il lui donnait – notamment celui de ses seins orgueilleux et toujours maintenus par leur extrémité par la chaînette d’or – elle décida de retirer le string mais de garder le fameux bijou. La douleur était toujours lancinante, mais les vibrations qu’elle recevait en écho au fond de son ventre la dissuadaient pourtant de le retirer. Toujours nue à l’exception de cela et profitant d’une température redevenue presque clémente, elle repartit se baigner, jouant de temps à autre avec ce plaisir mêlé de douleur. ---oooOooo--- La nuit, malgré la clim, fut chaude comme elle l’était souvent, malgré la saison. Elle entendit du bruit au rez-de-chaussée, et sursauta. — Djibo, c’est toi ? Le dénommé Djibo était en train de préparer le petit déjeuner. Il cria en bas de l’escalier : — Oui, patronne… Vous savez qu’il est déjà sept heures ? Vous allez être ...