La branleuse
Datte: 16/11/2017,
Catégories:
f,
ff,
jeunes,
frousses,
copains,
nympho,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
nopéné,
portrait,
humour,
... Jean-Baptiste, la robe relevée, les jambes écartées. Et lui à genoux, torse nu, sa belle gueule de barbu collée à la chatte moite, sa langue tournant autour du bouton. Je sais comment il fait : j’ai souvent eu droit au tabouret haut. Je me suis assise sur le lit en ruminant. J’ai pris un bouquin, tourné trois pages, mais mon cerveau n’imprimait rien. J’avais un tabouret entre les oreilles. Quelle conne ! J’aurais dû le garder encore un mois ou deux. Maintenant il doit être en train de la porter jusqu’à la chambre. Elle rit. Cette blondasse a une tête à rire pour n’importe quoi. Il la pose sur le lit, lui enlève sa robe, son soutien-gorge, sa culotte. Et puis il la positionne à quatre pattes sur le lit. Lui embrasse le dos. Fait courir son doigt le long de la colonne vertébrale en descendant lentement jusqu’à la raie des fesses. C’est son truc, ça, et il le fait plutôt bien. Elle frissonne et se cambre un peu plus. Elle ne le voit pas mais entend un froissement de vêtements : il enlève du même geste son jean et son caleçon. Il se colle derrière elle, lui mordille la nuque, sa queue glisse vers la touffeur blonde. Ou brune, ça peut très bien être une fausse. De toute façon, lui, il s’en fout : il la pénètre d’un coup, s’arrête puis lui claque les fesses. Je le sais, il n’a jamais pu s’en empêcher. Dans l’action c’est assez excitant, même si à froid je trouve ça un peu humiliant. Et puis il l’attrape par les hanches et commence ses va-et-vient. Ils se connaissent depuis combien ...
... de temps maintenant ? Trois jours, quatre nuits ? Oui, c’est assez, alors il ose : mine de rien, il cale son pouce contre la rondelle. Genre « je suis là par hasard ». Et à chaque aller-retour, il en profite pour appuyer un peu. S’il s’y prend bien, elle aura tout le pouce dans le cul dans trois minutes et ne se sera rendu compte de rien. Après, bien entendu, il va essayer d’y mettre autre chose. Moi, je ne l’ai jamais laissé faire. C’est pas que je sois contre par principe, mais ça demande à mon sens un degré d’intimité et de confiance qu’on n’a jamais eu, lui et moi. Alors que si ça se trouve, l’autre blondasse, elle lui ouvre la croupe à deux mains ! Gueule des trucs obscènes ! L’encourage à y aller ! Enfonce-toi jusqu’aux poils ! Et le Jean-Baptiste, il se dit que je lui ai rendu service en le larguant, parce qu’au moins il n’est pas en train de s’emmerder avec une coincée comme moi. Ouais, voilà ce qui est en train de se passer, là, maintenant, tout de suite. Peut-être. Mais quelle conne ! J’étais en train de me laisser aller à un curieux mélange de fureur imbécile et d’auto-apitoiement. C’est quoi, cette connerie ? Je suis assez jolie pour trouver un autre Jean-Baptiste d’un claquement de doigts ! Et à propos de doigts, qu’est-ce que les miens faisaient sous ma jupe ? Je m’excitais toute seule en imaginant mon ex sautant sa nouvelle conquête ! N’importe quoi ! Et c’était bien trempé, entre mes jambes : mécaniquement, je me caressais en tirant sur l’élastique pour faire ...