La branleuse
Datte: 16/11/2017,
Catégories:
f,
ff,
jeunes,
frousses,
copains,
nympho,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
nopéné,
portrait,
humour,
... rentrer un peu la culotte dans ma fente. J’ai toujours aimé ça, quand je suis bien épilée. Parce que sinon ça tire sur les poils et c’est désagréable. En jouant à droite et à gauche, on coince le clitoris ; c’est juste entre plaisir et douleur, très agréablement énervant. J’ai inspiré lentement et rejeté la tête en arrière. Le plafond m’a regardé. Il avait dû en voir d’autres, depuis le temps qu’il était là. Alors, j’allais me branler connement, toute seule dans ma chambre, face à un plafond à qui ça ne faisait pas plus d’effet que ça ? Je ne sais pas ce qui m’a pris. Je me suis mise complètement à poil et je suis retournée au salon. Charlotte avait repoussé tout le tissu gênant le plus loin possible et se ramonait tranquillement de deux doigts. Sur l’écran, Bernard de la Villardière lui souriait par politesse. Lui, son truc, c’était trois lascars floutés qui mettaient le feu à une bagnole au pied d’une barre d’immeubles. Pourtant Charlotte écartait les jambes le plus possible, comme si elle avait voulu toucher les deux murs avec les pieds. Les lascars, ça les aurait intéressés, c’est sûr. Quand elle m’a vue débarquer toute nue, elle a juste eu un sourire bienveillant. Elle n’a plus regardé la télé, alors j’ai coupé le son. On s’est pas dit un mot. Elle est restée sur le canapé et j’ai tiré face à elle le gros pouf à rayures rempli de billes de polystyrène. Elle a complètement enlevé sa culotte et repris sa position. C’était la première fois qu’elle faisait ça. Mon regard ...
... allait de ses yeux à ses jambes écartées. J’étais fascinée par ses cuisses très blanches et la finesse de son grain de peau. Et par sa vulve, bien sûr, sur laquelle couraient quelques poils roux. Je n’avais jamais vraiment regardé le sexe d’une autre fille. Vu, bien sûr, mais regardé, non. C’était bizarre. Il ne ressemblait pas du tout au mien. Ses petites lèvres étaient quasi inexistantes et son clitoris pointait haut. Et il était très rouge. Mais forcément, à le tripoter toute la journée… Charlotte s’amusait à le faire ressortir. Alors moi aussi j’ai ouvert les cuisses et j’ai commencé à me toucher. Nous étions à moins d’un mètre l’une de l’autre ; c’était très bizarre. Je n’avais pas été aussi électrisée depuis longtemps. Je me branlais face à ma coloc’ qui s’ouvrait à deux mains comme pour s’offrir à une queue imaginaire. Quelques mouvements ont suffi et je me suis mordu les lèvres pour étouffer un putain d’orgasme. Charlotte gémissait doucement, comme toujours. Elle courait un marathon ; moi, je venais de piquer un cent mètres. Quand j’ai rouvert les yeux, elle souriait encore, le regard braqué sur mon sexe qui flaquait. J’ai eu honte et j’ai refermé les jambes. J’avais les joues très rouges. Je me suis relevée, mal à l’aise, et je suis allée enfiler un long sweat oublié par un vieil ex, un truc informe trois fois trop grand qui me descend presque jusqu’aux genoux. J’ai fait du thé. Je dois être anglaise, quelque part au fond de moi : dès qu’une émotion me perturbe, je file ...