Clara, la chic fille...
Datte: 17/11/2017,
Catégories:
f,
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fagée,
handicap,
cinéma,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
init,
... certes bien montés; des bouches qui suçaient; des litres de sperme qui se répandaient partout. Des gros plans sur des paires de seins, plus gonflés que des airbags au moment de leur utilisation; des sexes féminins filmés à la loupe grossissante et qui donnaient l’impression de vouloir vous avaler, vous absorber du haut de leur écran; des fesses et des culs larges, profonds et tellement volumineux et plein de boutons qu’ils en étaient écoeurants. Mais à tout bien réfléchir, l’arrivée de la cassette, puis du DVD qui ont remplacé les cinémas pornos de nos quartiers, réduisent l’image à des proportions et des normes plus acceptables et moins fantasmagoriques … Bien entendu, j’avais chois la première séance, celle de 13H le jour du changement de programme. Mais je suis arrivé en retard … et Clara "m’attendait" derrière sa porte, la lampe entrant en fonction dès que le vieux ressort un peu rouillé de la double porte du sas d’entrée a fait entendre son couinement. — Bonjour … lui dis-je en lui tendant mon billet.— Devant ? Derrière ?— Heu … derrière … Merci. Elle marche rapidement vers un des rangs du fond, dont quelques places sont occupées et, d’un petit geste de la main qu’elle transmet à sa lampe, elle m’indique ma place. Dans la pénombre de la salle, mes yeux s’habituent vite et je distingue clairement sa main gauche tendue, attendant son pourboire. — Merci. Dit-elle en faisant disparaître en un tour de main les pièces que je lui laisse. Mais déjà, elle a éteint sa lampe et ...
... il me faut enjamber un, puis un second spectateur qui maugréent pour gagner, seul ma place, au fond de la rangée, près du mur. Le fauteuil, défoncé, colle et crisse sous mon pantalon … et s’enfonce largement sous mon poids. Par chance, pour l’instant, personne n’est devant moi … Je jette un œil autour de moi. A un siège de moi, une ombre est tassée, une gabardine sur les genoux. Le visage immobile, le regard vrillé et tétanisé vers l’écran. Au fur et à mesure que mes yeux s’habituent à l’obscurité, et en fonction des images plus ou moins claires qui défilent sur l’écran, je peux apercevoir quelques détails … l’homme, à côté de moi, agite frénétiquement son bras droit, donnant des soubresauts à la gabardine, posée en boule sur les genoux. En voilà un, au moins, qui est excité par le film et qui se fait du bien, pense-je. Plus loin, plus près de l’allée centrale, une autre silhouette, tassée, la tête sans cesse en mouvement… regarde de droite et de gauche … lui n’a pas de "protection", il a juste sorti son engin qu’il agite de sa main gauche. Devant, quelques têtes apparaissent ou disparaissent. J’arrive à me tourner, de trois quart. Juste derrière moi, je distingue, fugacement, un petit vieux … lui aussi occupé … Ah ! J’avais oublié cette ambiance, cette promiscuité des cinémas pornos de mon adolescence … Ceux devant lesquels nous passions, quand on avait pas encore l’âge légal et dans les entrées desquels ont jeté un regard d’envie et de concupiscence, en accélérant le pas de ...