Chemin faisant
Datte: 17/11/2017,
Catégories:
fh,
inconnu,
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Masturbation
nopéné,
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attirautr,
... étant ouvert, je lui proposai un rafraîchissement. Comme si nous avions asséché toute conversation, nous nous regardions. — Vous allez dormir en pleine nature sous la tente ?— Oui. Elle sembla vouloir ajouter quelque chose mais se tut. Nous ne nous quittons pas des yeux, cherchant les mots ou la solution pour ne pas se quitter ainsi. Elle finit son verre. — Je connais une maison d’hôtes non loin ; voulez-vous que nous y passions la nuit ? dit-elle d’une voix troublée.— J’’aimerais beaucoup !— Je dois avoir leur numéro ; j’espère qu’ils ont une chambre libre. Elle appela. — C’est bon, ils peuvent même nous faire à souper. Je réglai l’addition et nous partîmes à sa voiture. Les sacs dans le coffre, j’enlevai ma veste, elle retira son coupe-vent. Une Vénus en pull mohair ! Elle était si belle, si délicatement féminine, avec se côté garçon manqué qui chez les femmes me transporte. On s’assit, nos visages se rapprochèrent. Un premier baiser, tout léger. On se regarda. Second baiser, plus alangui. Ses lèvres étaient douces, son pull aussi. J’ai posé une main sur sa hanche. — On peut se tutoyer ! Quel est ton prénom ?— Liliane.— Alain. Elle démarra. Nous avons roulé une quinzaine de minutes, je ne sais plus, en échangeant quelques regards, quelques sourires. J’étais en érection à l’idée de la serrer contre moi. Un chemin partait à droite : Je croyais rêver… Accueil sympathique d’Yvette : — La chambre ? Par ici, dans la dépendance ; vous serez seuls. Nous avons allumé la cheminée. ...
... La chambre était élégamment rustique : murs en pierre, sol en tomettes ; comme dessus de lit… une épaisse et duveteuse couverture en mohair ! Salle de bain attenante. Repas dans une demi-heure. Nous étions seuls dans la chambre, à la lueur des flammes. J’avais envie de la jeter sur le lit, de l’embrasser à bouche-que-veux-tu. Non, je l’enlaçai tendrement et couvris ses lèvres et son visage de baisers. Si doublement douce contre moi, sa tête en arrière, je l’embrassais dans le cou, une joue contre son épaule et la douceur du mohair, l’autre contre la sienne et la peau chaude de son cou fragile offert comme un signe de confiance. Serrés l’un contre l’autre, elle ne pouvait ignorer mon émoi. Je me dégageai, lui souris et allai prendre une douche et me raser de frais, puis ce fut son tour. Je l’attendais sur le lit, caressant les longs poils de laine dont la douceur résonnait en moi comme un appel voluptueux. Elle ressortit de la salle de bain toute fraîche, recoiffée, légèrement maquillée, stick passé sur les lèvres, rimmel, petit collier de perles blanches, jeans, ballerines, et toujours ce beau pull sans rien dessous me sembla-t-il. Je me sentis indigne d’elle. — Nous sommes en retard, le repas est prêt ! La conversation était futile ? Non, pas tant que cela. — Vous êtes déjà venue ici ?— Oui, il y a deux ans ; je vous avais acheté des pelotes avec lesquelles une amie m’a tricoté ce pull.— Il est joli !— Merci. Je l’aime bien en cette saison : il est chaud mais respirant, et si ...