Chemin faisant
Datte: 17/11/2017,
Catégories:
fh,
inconnu,
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Masturbation
nopéné,
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attirautr,
... doux à la fois !— J’en mets aussi en dehors du travail, j’adore ça ! reprit Yvette. Se doutaient-elles, ces deux bavardes, de l’effet que provoquent chez certains hommes ces douceurs en angora ou mohair ? Qu’il existe des formes de fétichisme plus ou moins prononcé qui leur sont liées ? Maintenant, avec le sauté de veau, nous parlions fleurs sauvages ; je pus me mêler à la conversation. À 22 heures nous avons pris congé. La porte refermée, Liliane me prit la main et me mena d’autorité à la chambre, me poussa sur le lit, se mit sur moi, m’embrassa avec fougue, puis dézippa mon polaire et releva mon tee-shirt ; j’avais à peine eu le temps de retirer tout cela qu’elle déboutonnait déjà mon pantalon. J’étais nu sur la couverture. Elle me caressait le torse d’une main tandis qu’elle me branlait doucement de l’autre. J’ai attrapé ses seins à travers le pull – elle n’avait rien d’autre dessous – puis j’ai déboutonné son jeans. Elle est assez serrée dedans. Elle s’est levée pour l’enlever, sa culotte en coton de même, puis est revenue s’allonger sur moi. Je l’ai serrée fort tandis que nous roulions sur le lit. J’étais sur elle ; je relevai son pull, découvrant une poitrine qui tenait encore fort bien la route. Je l’attrapai à pleines mains et me frottai à son pubis, sexe contre sexe. Elle avait les yeux fermés, le visage presque enfoui dans la douce couverture à moitié débordée. Je calmai le jeu et, m’allongeant sur elle, lui murmurai à l’oreille : — Je n’ai pas de préservatif…— Je ...
... m’en doutais ! dit-elle d’une voix douce. On peut faire quand même pas mal de choses sans.— Tu me plais beaucoup…— Prouve-le ! J’attrapai ses joues à deux mains et l’embrassai à l’étouffer, puis je lui suçai les seins. Elle caressait mon dos ; je flattais ses hanches, son ventre, et finis par glisser ma main vers son pubis : elle mouillait comme une jeune fille. Je me mis de côté sans cesser mes succions mammaires et commençai à la doigter. Les grandes lèvres étaient déjà écartées ; les petites ne se firent pas prier. Je parcourais son sillon humide tandis qu’elle bougeait ses jambes. Était-ce pour se caresser dans la ouate du mohair comme je le faisais ? Mon doigt viola un peu son vagin, s’imbiba de cyprine, remonta vers son clitoris gros comme une bille. Elle m’attrapa par la nuque, me mordilla la joue et le lobe de l’oreille, gémit. J’intensifiai mon doigté, faisant rouler son clito, allant plus profond et à deux doigt dans son vagin. Me redressant, de l’autre main je pris un pan de la douce couverture pour lui en caresser le ventre ; elle se tortillait en m’encourageant : — Vas-y, vas-y ! Longuement je la câlinai, admirant son intimité, son corps offert à mes yeux et à mes massages. Elle se tortillait, s’excitait. Enfin je la retournai, buste et tête collés à la couverture, à genoux, le cul relevé, et me mis de côté. Ma main entre ses cuisses, je remontai sa raie, découvrant la rondelle de son anus, et avec un coin de la couverture je lui caressai le fondement délicatement ...