1. Passion trouble


    Datte: 19/11/2017, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail Oral préservati, amour,

    ... avait peur qu’on les trouve, mais elle n’avait pas pu retenir ce cri, une impulsion du fond de son ventre, lorsque la queue de Victor s’était enfin enfoncée en elle. Elle était brûlante, elle était gonflée, et elle allait et venait en elle, provoquant une escalade de sensations à tel point qu’Estelle ne put se retenir de feuler et de pousser des râles de plaisir. Victor enfonçait ses doigts dans la chair de ses hanches, la tirant à lui pour la prendre plus profond encore. Estelle sentait des couilles battre contre son clitoris, elle en perdait la tête de délice. Une main de son amant quitta sa hanche et vint se glisser sur son pubis, puis le majeur vint sur son clitoris, écartant les lèvres. Estelle écarta les cuisses pour lui dégager le passage. Victor continua de la pénétrer, allant et venant en elle sans ralentir, mais de sa main il lui caressait le clitoris, d’un geste expert. Estelle avait perdu toute notion de conscience, elle n’était plus qu’une chose qu’on baisait et qui voulait être baisée, un corps vibrant de sensations irradiant de son vagin et de son clitoris en même temps, si bien qu’elle sentit son corps se tendre alors qu’un second orgasme la secouait. Elle ne put se retenir de crier cette fois, tant les coups de boutoir de Victor combinés aux éclairs de plaisir lui faisaient perdre la tête. Elle sentit alors la verge aller plus loin en elle, s’agiter de soubresauts, tandis que Victor poussait un gémissement en écho à ses cris de jouissance. Il fit encore ...
    ... quelques allées et venues, mais se retira bientôt. Il retira la capote, la noua, et la jeta à la poubelle, avant de remonter son boxer et son jean. Estelle se retourna. — Attends, dit-elle. Tu ne vas pas rester comme ça… Elle sortit son pénis de son écrin. Il était mou et poisseux, et le lécha consciencieusement pour le nettoyer. Alors seulement, elle autorisa Victor à se rhabiller. Pendant qu’il boutonnait sa chemise, Estelle remit la sienne, renfila sa culotte, lissa sa jupe. Ils se trouvèrent face à face dans le bureau, ne sachant ni quoi dire ni quoi faire maintenant qu’ils avaient apaisé la tension sexuelle entre eux. Estelle retourna à son bureau, et s’assit sur le fauteuil. Elle se sentait toute drôle. Elle n’était pas certaine de savoir comment elle devait gérer la situation à partir de là. Sa collègue Françoise rentra de déjeuner dix minutes plus tard, et ne manqua pas de lui trouver un drôle d’air. — Ça va ? T’es toute rouge. Estelle fila aux toilettes et constata, épouvantée, qu’elle était échevelée. Elle avait les joues rouges, et se rappeler les caresses et la passion de Victor lui faisait monter le sang au visage, ce qui n’arrangeait rien. Elle se recoiffa, se passa le visage sous l’eau fraîche. De retour à son bureau, elle ne parvint pas à rester assise, se fit un café à la machine, et alla s’asseoir sur la terrasse pour le boire. Elle avait encore envie de lui. Son portable vibra. Un SMS : Elle sourit et pianota : Son cœur se mit à battre. Elle ne savait pas si ...
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