Plaisirs de l'aube
Datte: 19/11/2017,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
extracon,
extraoffre,
poilu(e)s,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
odeurs,
Masturbation
Oral
pénétratio,
jeu,
ecriv_t,
... et déposa rapidement une touche sur mes lèvres. — Tu vois, chéri, dit-elle à Rupert, il les a regardés ! Il est comme toi, je crois qu’il les trouve beaux !— Comme cela, sans aucun doute, chère amie ! J’aurais mauvais goût à vous dire le contraire ! Elle se rassit, toujours dépoitraillée, et nous passâmes au Champagne. Nous commencions à devenir très joyeux ! C’était à tel point que je commençai à sentir une torpeur post prandiale m’envahir. Rupert, qui subissait les mêmes attaques de l’alcool, résolut de traiter la situation et suggéra que nous allions prendre l’air dans le parc voisin. J’étais partagé, mais j’inclinai davantage pour une petite sieste dans la véranda du premier étage, endroit très agréable s’il en fût, où l’on pouvait prendre du repos avec de l’air et de la lumière, en écoutant, si on le souhaitait, un peu de musique. De larges fauteuils et un canapé permettaient de s’installer tout à son aise. Je priai la compagnie de bien vouloir excuser ce moment de repos. Rupert annonça qu’il allait marcher un peu. Sido crut utile de préciser : — Ne t’inquiète pas, Lapin ! On t’attendra pour les travaux pratiques ! Aigues marines Décidément, elle y tenait ! Je m’installai, et fus bientôt pris d’un somme. Plus tard, j’entrouvris les yeux au léger bruit qui m’entourait, et sans bouger, je vis et j’admirai. Sido s’était penchée au-dessus du dossier d’un canapé Chippendale pour attraper je ne sais quoi derrière. Le buste littéralement porté par le large dossier de cuir, en ...
... extension vers son but, elle exposait sans même s’en douter toute sa chute de reins au spectateur involontaire que j’étais. Sa jupe remontait assez haut sur l’arrière de ses cuisses, et dévoilait la lisière de ses bas. Toute à son effort, tendue vers l’objectif, elle assurait son équilibre en battant des jambes, et sa jupe, sous l’effet de ce mouvement, remontait encore davantage. Il s’agissait de vrais bas. Pas de cette contrefaçon avec jarretière autofixante, mais de ces bas qui nécessitent un vrai porte-jarretelles, dont le parement n’a pas l’élasticité voulue pour les retenir seuls en haut de la cuisse, mais également de ceux dont ce parement peut revêtir la finesse de tissage qui conduit la main à la caresse. Des vrais bas avec un talon formé, dont on voyait sortir la pointe des escarpins à talons hauts qu’elle portait ce jour-là. Et ses bas remontaient donc vers le haut et l’extérieur de la cuisse. Un mouvement plus prononcé me révéla la jarretelle noire, tendue sur la fesse. Ma déception vint de ce que la culotte n’était pas en accord avec cet ensemble : de simple cotonnade blanche, elle enveloppait une jolie moule bien formée, mais sans rien laisser voir de la pilosité de la belle. Mais plus choquant encore, la jarretelle que j’apercevais à chaque mouvement, passait non pas dessous, mais bien au-dessus de la culotte. C’est ce qui me poussa à intervenir. Je ne pouvais laisser perdurer cette hérésie. Je fis mine de m’éveiller et poussai un bâillement à me décrocher la ...