1. Plaisirs de l'aube


    Datte: 19/11/2017, Catégories: fh, hagé, fagée, extracon, extraoffre, poilu(e)s, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme odeurs, Masturbation Oral pénétratio, jeu, ecriv_t,

    ... debout ! Elle se leva. Je continuai : - Figurez-vous que vous êtes devant votre amant, et que vous voulez, maintenant, qu’il découvre votre motte, qu’il fouille dans votre fente, qu’il vous lèche ou qu’il vous baise, mais qu’il vous fasse jouir ! Que faites-vous ?— Eh bien, vous ! Vous n’hésitez pas, pour vos démonstrations !— Alors, que faites-vous ?— Bah, tiens ! Je me déshabille !— Trop vite ! Pas d’intérêt à mettre des bas ! Rien à faire du porte-jarretelles ! In naturalibus immédiatement, et comme à la campagne ! Non Sido, vous ne ferez pas cela !— J’enlève… elle hésitait.— Eh oui ! le bas, la culotte ! Sido, toujours couleur pivoine, avait pris son air de bécassine. Elle voulait se faire dicter les termes. Elle ne voulait pas qu’il soit dit qu’elle prononcerait, elle, ces mots ! Je poursuivis : — D’ailleurs, concernant la culotte, vous n’êtes pas dans le ton ! Pas de petit bateau avec un porte-jarretelles ! Soit une belle culotte de dentelle large, aérée, qui laisse respirer votre foufoune à l’envi, soit un string !— Un string ! Mais quelle horreur !— Mais non ! Vous voulez affoler votre amant, qu’il bande comme un taureau, ou non ? Vous voulez sentir un manche dur comme l’acier dans votre con tout mouillé ou bien vous suffirez vous d’une sorte de débandade molle ? Elle ne répondait pas, mais commençait à avoir un regard gourmand. Je continuai : — Le string, il vous écarte les lèvres : ce sont deux gros renflements qui font saillie ! Et votre toison les habille ! Et ...
    ... pourtant, le triangle magique dissimule le saint des saints ! Votre mâle, il commence à saliver, et pas seulement de la bouche ! Bon ! Admettons que vous portiez un string ! Votre amant veut perdre son visage dans votre forêt sacrée ! Comment faites-vous ? Sido pencha la tête, se saisit des élastiques de sa culotte, mais réalisa qu’elle ne pouvait aller plus loin, et qu’il lui fallait d’abord dégrafer les jarretelles. Elle me regarda d’un air comme éperdue. — Vous voyez bien lui dis-je ! La jarretelle, il faut qu’elle soit sous la culotte ! Tenez votre jupe, je vais corriger tout cela ! J’étais surpris qu’elle se laissât faire. Mais je l’attirai vers moi en la prenant par les fesses, et elle vint docilement. Elle regardait la manipulation, et, quand je haussais mon visage vers le sien, elle souriait d’un petit air contrit, mais foncièrement complice. Son ventre bombé était à hauteur de mes yeux. Je défis la jarretelle de droite. Alors, doucement, je glissai la main sous la cotonnade, pour aller en saisir l’extrémité. Je sentais la chaleur de son ventre sous ma paume. J’attrapai la jarretelle, la fis ressortir, et l’attachai. — Tournez-vous, lui dis-je. Voyons d’abord les fesses ! Nous jugerons mieux ainsi de l’effet en terminant par le ventre ! Elle se tourna, et, par deux fois, j’arpentai ses fesses de mes mains, me saisissant des rubans soyeux. — De face, maintenant ! Nouvelle exploration du ventre. Soudain, je me perdis. De mon pouce, j’avais perçu le foisonnement ! Ma paume ...
«12...6789»