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Folies en rut majeur (3)
Datte: 19/11/2017, Catégories: Erotique,
... touristes ou gens du cru qui passaient dans son champ de vision la laissaient parfaitement indifférente. Son ventre la tenaillait et se tordait dans des affres quasiment douloureuses. Ses tripes réclamaient… ce Luigi. Remuée au fond d’elle par cette insoutenable attente, elle revint vers la maison de ce type. Là, son doigt enfonça carrément le bouton et la sonnerie de l’autre côté de la porte se fit entendre. Pas un bruit ne venait la rassurer. Elle s’apprêtait à tourner les talons pour pratiquement s’enfuir quand enfin, l’huis tourna sur ses gonds. — Oui ? Bonjour ! C’est pourquoi ? — Euh ! Bon… jour ! Je venais voir Luigi. Une voix pâteuse lui parvenait soudain de derrière la jeune fille qui se trouvait dans l’encadrement de la porte. — Qui c’est ? — C’est une femme pour toi mon loulou. Elle te réclame ! — Une femme ? Fais là entrer, que je vois sa tête. — Bon vous avez entendu, alors faites comme chez vous ! Entrez ! Je suppose que vous connaissez la baraque et que le chemin de la chambre ne vous est pas inconnu. Alors, allez-y ! Putain, ce n’est pas vrai ! Ce salaud continue à se taper des gonzesses dans mon dos. Vous n’êtes pas la première et vous ne serez pas la dernière, mais moi, je vais faire mes valises cette fois. Aline regardait cette mijaurée qui se parlait sans doute à elle-même. Elle avançait dans l’entrée, mais contrairement à ce que la jeune fille lui disait, elle ne savait pas où se trouvait la chambre. L’autre avait l’air furax. Elle marchait derrière elle ...
... quand la brune s’arrêta ! — Eh ! Bien c’est tout droit ! Vous n’avez donc pas de mémoire ? — Je ne sais pas où est cette… sa chambre ! — Pas possible ! Il y aurait encore une conne qui vient voir Luigi sans avoir baisé avec lui ? Ou alors vous veniez pour cela ? C’est donc ça, il vous a fait venir pour vous tringler ? Mais vous êtes cinglée ma parole. Ce type c’est un monstre… vous allez finir comme moi… sur un coin de trottoir. Poussez la porte devant vous. La brune entendait les paroles de la jeune femme qui la guidait vers une porte. Elle jacassait sans arrêt, mais Aline comprenait parfaitement ce qu’elle lui racontait. Et un délicieux frisson lui parcourait l’échine. Pour un peu elle aurait mouillé d’aise, de plaisir ! Il ferait bien d’elle ce qu’il voulait. Elle s’y était préparée toute la nuit. Le mot pute… provoquait un vrai cataclysme en elle. Son ventre qui se tordait d’envie n’en finissait plus de lui envoyer des signaux. L’autre fille, pas franchement blonde, lui entrebâillait la porte et d’une poussée dans le dos l’expédiait dans la piaule. Il était couché. Nu sur le drap froissé, elle voyait bien que la blondasse et l’italien n’avaient pas fait qu’enfiler des perles. — Ah ! Tiens ! C’est ma salope préférée ! Après toi Florence. Aline, voici une amie… Florence, je te présente Aline. — Je vois ! Une poule de luxe pour Monsieur ! — Oui ! Ma Flo, tout le monde n’est pas aussi vulgaire que toi. Et puis son cul vaut bien le tien. Tu veux l’essayer ? Aline au milieu de ...