Folies en rut majeur (3)
Datte: 19/11/2017,
Catégories:
Erotique,
... épisode. Il n’avait pas besoin de savoir qu’elle était folle de ce terrible traitement. Aussi quand il décida qu’un soir il l’a trainerait aux bois avec une laisse, elle ne se raidit pas, ne se contracta pas non plus. Luigi, le bras tendu assénait les coups avec une régularité de métronome. Et chaque mot semblait être pesé. Par contre il avait une certaine technique et pas une marque ne venait zébrer la peau, ou alors si légère que quelques heures après cette séance, plus rien ne serait visible. Elle avait coulé de partout sous les applications particulières de cette badine de cuir. Elle avait certainement serré les dents à maintes reprises, ne donnant jamais à l’homme la satisfaction de la voir pleurnicher. Aline savait pourquoi elle était venue et assumait pleinement cette situation. Les pinces sur les seins aussi se révélaient redoutables ! Curieusement, celles sur les lèvres vaginales ne l’avaient pas émue plus que cela. Leurs petits jeux les avaient amenés en milieu de journée. Il ne montrait aucun signe de fatigue et elle ne laissait entrevoir aucune inquiétude. Sans qu’elle sache pourquoi, il prenait soudain la décision que quand le vin était tiré, il fallait le boire. Alors, plutôt que la détacher et la libérer pour qu’elle rentre chez son mari, il n’était pas au courant de la rupture, il lui posa une laisse sur le collier, relia les poignets par des anneaux à l’aide des bracelets, au niveau du cou. Il colla sur ses yeux un bandeau suffisamment serré pour qu’elle ...
... prenne tout de même peur. Puis il la fit descendre vers ce qu’elle supposait être le garage. Le bruit qui lui parvenait n’avait rien de rassurant. Elle était totalement nue quand Luigi souleva Aline. Elle sentit que son corps se retrouvait allongé dans un espace réduit. Le coffre d’une voiture. Elle en eut la certitude dès que le haillon se referma. Elle restait un long moment dans cette solitude qui lui fichait la trouille. Le bruit du moteur et celui de la porte de garage qui s’ouvrait la firent craindre le pire. Elle voyageait dans la soute, attachée et dépendante de Luigi. Là encore, folle d’inquiétude et morte d’attente, son ventre lui jouait des tours. Elle inondait le coffre… enfin la moquette douce qui en assurait le recouvrement. Le trajet ne lui semblait pas court. Combien pouvait être pénible cette situation ! Ne pas voir, ne pas savoir et surtout se demander où elle allait. Mais après tout elle pouvait toujours refuser la fin du plan. Dire non et l’autre aurait sans doute cessé immédiatement. Le viol n’interviendrait qu’à la suite de ce simple mot et le rital en était sans doute bien conscient. Elle voulait aller jusqu’au bout de ce désir, de cet appel de ses sens. Savoir, c’était cela le maitre mot de l’histoire. Elle avait envie de connaître le grand frisson, pourquoi donc se serait-elle plainte ? Quand le véhicule avait ralenti, c’était pour la chahuter un peu plus violemment dans son petit réduit. Un chemin caillouteux, elle pensa qu’ils étaient en forêt… mais ...