Le plus beau jour de ma vie (4)
Datte: 21/11/2017,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Le plus beau jour de ma vie – 4 : Week-end de folie Dernier jour de la semaine ; à l’arrêt devant le lycée, Manu, l’air dominateur, et Julie, les fesses à l’air sous sa robe, attendent tranquillement l’arrivée de l’autocar qui va les ramener à la maison ; ils se sont placés de façon à être les premiers à pénétrer à l’intérieur. Le véhicule arrive ; il est vide. Une fois les cartes de transport contrôlées, Manu souffle à Julie en lui pinçant les fesses sous la robe : — On se met au fond, côté trottoir. Elle s’installe docilement sur le siège désigné. Le contact du velours doux avec ses fesses nues la fait frissonner de plaisir. Elle n’avait cependant pas prévu que les places arrière sont situées au-dessus du moteur, et qu’ainsi surélevées elles permettent aux piétons de voir les jambes, et même le profil complet des personnes assises à ces places. Julie est inquiète. « Pourquoi on ne s’installe jamais à ces places ? Qu’est-ce qu’il est en train de me mijoter ? » Manu s’assoit à côté d’elle, et le car presque vide démarre. — Alors, ma petite soumise, tu es prête à m’obéir aveuglément, à faire tout ce que je veux ? — Oui, Manu. Oh, pardon : oui, Maître. « Oui maître » : les mots qu’elle vient de prononcer la mettent dans un état d’excitation incomparable. Il va la dominer, lui demander de faire quelque chose qu’elle n’imagine pas ; elle va tout accepter sans broncher, mais elle est inquiète : qu’a-t-il trouvé ? Il peut être imprévisible dans ses jeux — Très bien, tu as ...
... compris. Tu vas relever le pan de ta robe pour que les gens puissent admirer ta jambe jusqu’à la fesse, et fais semblant de dormir. Regarde discrètement les passants : je suis certain que tu vas apprécier. « Ce défi est terrible… Il veut m’exposer ? Il est fou. OK, c’est le jeu ; alors joue, ma fille ! » se dit-elle. Discrètement, elle passe le pan de sa robe par-dessus sa cuisse, dévoilant sa jambe jusqu’à sa fesse et offrant aux passants un spectacle digne d’un film érotique. Le front collé à la vitre, elle observe d’un œil la réaction des gens sur le trottoir. Elle peut voir des visages souriants ou surpris, les yeux exorbités de certains, d’autres visiblement outrés. Elle obtient aussi des pouces levés, mais elle ne bronche pas. Cette situation l’amuse mais l’excite énormément ; son sexe est en train de s’humidifier. L’autocar sort de la ville ; ils ont une demi-heure de route. Le paysage défile, les arbres ont revêtu leur robe d’automne. Il lui place une main derrière la tête et, bouche contre bouche, ils entament un baiser passionné, bon, chaud, envoûtant. Elle se laisse aller, sa tête se vide. Une main curieuse explore son intimité, sort de dessous la robe et se lance dans une inspection minutieuse de ce corps qu’elle connaît parfaitement. Au travers du tissu, elle joue avec ces seins adorés ; les tétons deviennent durs. Les boutons-pression sautent les uns après les autres ; la robe s’ouvre, une des bretelles glisse. Julie est quasiment nue. La bouche qui l’a quittée est en ...