Le plus beau jour de ma vie (4)
Datte: 21/11/2017,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... crois. — Oui. On va passer un week-end de folie, tu vas voir… Tu vas déguster, je te le dis ! — Pas de vengeance, d’accord ? — Non, non. J’avais déjà des idées ; je vais juste les pimenter un peu. Et tu vas a-do-rer, j’en suis certaine. Le temps passe. Il prépare le repas ; ils sont nus, comme souvent. La sonnerie de l’entrée retentit ; Julie va répondre à l’interphone. — Oui, c’est qui ? — C’est Chloé. — je t’ouvre. Elle appuie sur la commande d’ouverture du portillon. — Manu, on reste comme ça ? — Oui : ainsi, elle sera directement dans l’ambiance. La sonnerie de la porte retentit ; Manu ouvre la porte. — Waouh ! Julie, elle est à poil ! Tu as vu ? Ta copine se balade à poil… Eh bien, ça promet ! Chloé, entièrement nue devant la porte d’entrée, un sac à la main et son manteau sur le bras, offre à Manu la vue de son corps de jeune femme aux courbes joliment bien dessinées. Plus petite que Julie d’une dizaine de centimètres, une chevelure brune recouvre à peine ses épaules. Son visage rosi par le stress et la surprise de voir Manu nu sur le pas de la porte affiche un sourire un peu timide à la vue de ce garçon entièrement nu au phallus fièrement dressé. Cette poupée aux seins en forme de demi-pamplemousses porte un petit piercing au nombril qui souligne une toison triangulaire coupée au cordeau et soigneusement taillée. Ses jolies jambes sont agrémentées d’un « thigh gap » – tant convoité par certaines filles – qui laisse entrevoir la forme de ses petites lèvres. — Entre, ...
... tu vas attraper froid dans cette tenue. Dis-moi, tu n’as peur de rien : te présenter à poil, tu as vraiment envie de vivre quelque chose ? « Putain, quelle bite il a ! Tu ne serais pas bi, tout compte fait, ma petite fille ? » Son inconscient est en train de lui mettre le doute. — Je n’en attendais pas moins de sa part ; elle est docile, cette petite, elle a bien écouté. Et en plus, je ne lui avais pas demandé de venir à poil. Tu t’es déshabillée quand ? reprend Julie. — Juste au moment où le portail s’est ouvert. C’est bien, ici, la ruelle n’est que pour vous ? Je n’ai pas vu d’autres maisons. J’ai trop envie de faire des trucs depuis l’autre jour ; j’ai pensé que tu serais contente de moi. — Tu es parfaite ; enfin, pour le moment. À partir de maintenant, toi et Manu vous êtes mes esclaves : je fais ce que je veux de vous. D’accord ? Tout d’abord tu n’es pas venue me saluer ; approche ! — Oh pardon, Julie, je m’excuse… — Non, pas « Julie » : Maîtresse. Et c’est valable pour toi aussi, Manu. Et toi, petite effrontée, viens me lécher la chatte, et après tu suceras Manu. Tu as déjà sucé un garçon au moins ? Julie se joue de la situation : faire sucer Manu par une lesbienne – enfin, pour le moment – elle s’en délecte par avance. Le visage de Chloé vient de passer au rouge ; elle n’a jamais fait cela, à la fois par manque d’envie, visiblement plus tournée vers les filles, mais aussi par manque d’opportunité. — Non, jamais. — Allez, à genoux ; viens me lécher la minette ! Après, ...