1. Le plus beau jour de ma vie (4)


    Datte: 21/11/2017, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... train de lui mordiller, lécher, suçoter, pomper les tétons. Pendant ce temps, une main retourne vers sa minette ; un, deux, puis trois doigts forcent l’entrée de son intimité. — Tu ne dois pas jouir maintenant, compris ? Plus facile à dire qu’à faire ! Julie, au bord de l’orgasme, a bien du mal à se contrôler. — Ouvre les yeux maintenant. Elle s’exécute et découvre devant elle Chloé, à genoux sur la banquette de devant, appuyée contre le dossier du siège, une main sous le menton et l’autre visiblement occupée à accompagner sa copine dans une masturbation appliquée ; elle admire ce spectacle d’un érotisme brûlant. À la vue de sa copine, Julie ne peut retenir son orgasme qui explose en elle, violent, convulsif. Sa respiration est puissante, elle râle de plaisir. Le car ralentit ; Chloé trompette un « À ce soir ! » tonitruant puis se lèche les lèvres avec gourmandise et, avec un sourire complice, elle descend du car qui redémarre aussitôt. Chloé peut admirer au passage le corps Julie entièrement nu plaqué contre la vitre par Manu qui lui fait un signe de la main. Ils se rassoient. Manu a attrapé la robe qu’il plie consciencieusement ; Julie est paniquée. « Il ne va quand même pas me laisser sortir du car à poil ! » pense-t-elle. L’autocar ralentit ; leur arrêt n’est plus qu’à une centaine de mètres. Julie implore du regard Manu qui lui rend un sourire malicieux. Le véhicule freine, puis s’arrête. Alors que Manu commence à avancer dans l’allée, il se retourne et lui lance le ...
    ... morceau de tissu tant attendu. Julie n’a jamais été aussi rapide pour enfiler cette robe, et c’est avec un immense soulagement qu’elle descend du car. — Tu es complètement malade de me faire un coup pareil ! Tu images si on m’avait vue ? — D’abord je te rappelle que tu n’as pas le droit de parler ; ensuite, j’ai fais gaffe. Et pour terminer, tu veux jouer. Donc, lorsque nous serons arrivés dans l’allée, tu enlèveras tout. C’est un ordre ! — Oui… Une fois dans l’allée qui donne accès à la maison, elle enlève tout, comme prévu. Pour elle, ce n’est qu’une formalité car elle ne risque pas de faire de rencontres impromptues (petit rappel : la maison est isolée au bout d’une allée). C’est donc entièrement nue qu’elle fait le reste du trajet. Comme prévu, Alice et Jean-Mi sont partis pour le week-end. Manu dépose leurs affaires dans l’entrée. — Alors, ma petite esclave, tu as aimé le trajet ? — Oui…oui, Maître. — Je vois que tu es sage ; je suis content de toi, sauf que tout à l’heure tu n’aurais pas dû répliquer : je vais donc te punir. À genoux, mains dans le dos ! Elle s’exécute, docile, lève un regard de chien battu vers Manu en attendant la suite. Il ouvre son pantalon et en extrait son sexe en pleine érection et déjà tout humide. Il faut dire qu’il bande depuis le début du trajet et que ça commence à devenir douloureux. — Suce-moi bien, nettoie-moi ça correctement. Tu as vu dans quel état tu m’as mis, petite dévergondée ? Elle s’affaire avec soin. Elle lèche ce membre qu’elle ...
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