1. Le plus beau jour de ma vie (4)


    Datte: 21/11/2017, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... Manu ; et ensuite on détermine les règles pour le week-end, à moins que tu préfères partir maintenant ? — Non, non, je reste. Chloé lèche avec soin le sexe de Julie. Appliquée, elle fouille entre les lèvres de sa maîtresse, se délecte du nectar un peu âpre qui suinte de la caverne généreuse tandis que la sienne, dans un état d’excitation grandissant, s’humidifie. — Ça suffit maintenant ! Va sucer ton compère d’esclave. Elle a juste à se retourner ; Manu, derrière elle, a la queue en l’air prête à se faire pomper. Hormis dans des revues ou sur quelques sites de cul, elle n’a jamais vu en vrai un sexe d’homme, et de surcroît en érection. Et quelle érection ! Timidement, elle approche ses lèvres de ce membre planté devant son nez, fier comme Artaban. Du bout de la langue elle effleure le gland, le goûte du bout des lèvres. — Tu te grouilles ? On ne va pas y passer la nuit ! rugit Julie. Ces mots font sursauter Chloé. Elle ferme les yeux, prend une grande respiration et engloutit l’engin d’un seul coup. « Pas si mauvais que ça : c’est chaud, doux ; ça n’a pas de goût, en fait. Ah si : il y a un liquide qui coule. Pas terrible… » pense-t-elle. Julie met fin aux pompages, déclare qu’on fait une pause pour mettre les choses bien au clair. Confortablement installés dans le salon afin de détendre les esprits, Julie et Manu ont préparé un apéritif un peu alcoolisé pour faire tomber les complexes, si complexes il y a encore. Notre trio trinque joyeusement au week-end de folie qu’ils ...
    ... vont passer. Plus sérieusement, ils mettent en place les conditions : jusqu’où ils veulent aller dans leurs délires, un mot de passe qui, s’il est prononcé, mettra fin à l’activité en cours. Chloé pourra quitter quand elle le voudra ; en gros, chacun est libre de soi. Les esprits s’échauffent, les langues se délient. Chloé avoue un peu honteusement qu’elle n’a jamais eu de rapport avec un garçon, qu’elle préférait la vue d’une fille nue, mais maintenant qu’elle a vu Manu, elle ne sait plus trop quoi penser. Julie la rassure en lui disant que peut-être elle aime les deux, comme elle, que ce n’est pas grave, qu’il faut qu’elle l’assume. Et puis que Manu, il aime bien regarder deux filles se câliner. — Chloé, on commence par toi. Debout ! Manu, tu lui mets ce bandeau sur les yeux et celui-là sur la bouche : je ne veux pas qu’elle voie ni qu’elle parle. Une fois le geste accompli, elle l’appelle du doigt, lui tend un préservatif et lui chuchote à l’oreille de reproduire sur Chloé les gestes qu’elle fera sur elle-même. Pas un bruit dans la pièce ; Chloé se sent seule. Elle ne bouge pas, attend ; elle commence à être excitée. Manu se place derrière elle et lui pose les mains sur les épaules ; elle sursaute. D’un glissement de pied, il la force à écarter les jambes et se colle à elle, les yeux rivés sur Julie dont il reproduit les gestes. Les caresses douces et délicates commencent par la tête ; ses doigts se perdent dans cette chevelure brune et soyeuse. Les mains descendent sur les ...
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