Ma prisone personnelle. (02) - Histoires de Sexe

Ma prisone personnelle. (02)

... qui se débattait dans sa prison. Il serrait, écrasait mes couilles entre ses doigts et c’était devenu ultra douloureux.
—S’il vous plaît, coach, c’est trop serré, trop douloureux.
—Si c'est trop douloureux, Serge, pourquoi est-ce que ta bite devient toute dure alors ?
A ricané le coach tout en continuant de me faire très mal. Mes gémissements ont continué et le coach me souriait et m’a lancé :
—Enfin, je vois une goutte de pré cum qui s’est formée à la pointe de ta queue.
Il a récupéré la gouttelette transparente et collante sur un doigt et a lancé :
—Hmmm les larmes de chasteté sont des choses précieuses.
Et il a frotté la goutte sur mon téton me faisant à nouveau gémir.
Finalement, l'entraîneur  n’a plus touché mon corps et je sentais mon cœur battre et j’essayais de respirer profondément pour me calmer ; faut-il dire que j’étais en sueur. Quant à la pression sur ma queue était encore très forte dans ma cage mais je sens que tout se calme.
J’ai regardé l’entraîneur qui m’observait depuis son fauteuil avec un regard amusé. Je devais lui parler :
—S’il vous plaît, coach, n’en parlez à personne, de grâce coach.
—Parler de quoi, Serge ? Tu dois être plus précis !
—Vous savez, coach…. Que ma bite est…
Je ne parvenais pas à le dire de vive voix ! Et l’entraîneur souriait :
—Tu ne veux pas que les gens découvrent que tu es un esclave encagé, n’est-ce pas Serge ?
J’ai rougi et j’ai acquiescé …
—Très bien, Serge, je vais faire un accord avec toi. Je suis ...

... d’accord que cela reste un secret et tu pourras utiliser ma douche privée de mon bureau. En retour, après chaque entraînement, tu dois me faire rapport pour…. Un entraînement spécial. Est-ce que l’on a un accord ?
Je n’avais pas grand-chose à réfléchir   mais je ne sais toujours pas ce que e coach entend par ‘entraînement spécial’ ?
L'entraîneur a poursuivi. 
—Si tu ne termines pas ta formation, je te renverrai vers les vestiaires communs à poil et ainsi tous tes coéquipiers verront ta bite encagée dans toute sa splendeur. Je suis sûr que tes coéquipiers aimeront ce spectacle ; et ce sera ton choix bien sûr ! 
Je n’avais pas de choix ; mes copains ne peuvent pas savoir ! Je dois accepter ! Le coach a souri et a dit :
—Très bien, petit ! Maintenant, va prendre ta  douche.
Il s’est dirigé vers une porte, l’a ouverte et j’ai découvert la cabine de douche privée. Je me suis mis sous le pommeau et quand j’ai voulu fermer la porte de la cabine, le coach a ouvert grandement la porte. J’ai dit d’une petite voix :
—Coach ?
Mais déjà, l’entraîneur approchait sa chaise à roulette et est venu s’asseoir dans l’ouverture de la porte de la douche. Il s’est penché en arrière et m’a regardé avec un sourire narquois et m’a lancé :
—Douche-toi, petit !
Alors, il ne me restait que d’ouvrir le robinet d’eau chaude et de me tenir sous le pommeau pendant  que le coach me regardait bander mes muscles, m’enduire de savon sur tout le corps, et passant mes mains sur chaque centimètre de ma douce ...