Anaïs, ma petie pute. - Histoires de Sexe

Anaïs, ma petie pute.

Jamais ma sœur n'a été au courant. Si elle l'avait su et bien, je me doute que l’opprobre, l'humiliation que m'aurait fait subir l'ensemble de la famille aurait été méritée, du moins je suppose.Après tout je ne suis pas le seul responsable dans cette histoire mais bon, il faut bien l'admettre, c'est moi le plus vieux, j'aurais pu dire non.Mais comment aurais-je pu ? A seize ans, je la désirais déjà. Bien sûr, elle n'en savait rien, était à milles lieux de se douter que je me branlais en pensant à ses seins, sa petite bouche en sucre et ce cul.. Mon dieu.. Ferme, rond, une cambrure de rêve quand elle se prélassait au bord de ma piscine..Il y a des femmes qui transpirent le sexe. Pas juste belles, ni bien foutues, un mélange magique d'un tout qui vous fait rêver aux plaisirs de la luxure. Au cœur de ce petit village de Provence où j'ai ma maison secondaire, je voyais bien que les hommes du coin partageaient mon point de vue. Anaïs a ce pouvoir, même si elle ne s'en doutait pas encore.Elle avait beau être ma nièce, je voulais la baiser. C'est comme ça, je n'y peux rien.Ces deux dernières années ont été un calvaire pour moi, elle prenait de plus en plus de place dans mes phantasmes.Habituée à venir pour les vacances d'été, j'avais plaisir à la retrouver et pas juste pour ce que vous croyez, Anaïs est une chouette fille aussi. Pleine de vie, espiègle, intelligente et bien sûr, je bandais dès qu'elle arrivait..Je me souviens avoir imaginé milles stratagèmes pour la reluquer. Ma ...

... piscine était, bien sûr, le plus facile mais il m'en fallait plus.Enfermée dans sa chambre, je l'imaginais déambuler toute nue, voir se caresser à l' abris des regards. Petit à petit, j'en suis venu a fouiller ses affaires. Je rêvais de plonger dans son intimité, de découvrir des secrets inavouables, un sex-toy ou un journal intime où elle aurait livré ses désirs . Bien sûr, il n'y avait rien de tout ça par contre, il y avait ses sous-vêtements..Au début, je ne faisais que les effleurer du bout des doigts. La douceur d'un dessous en coton, la finesse de la dentelle d'un soutien-gorge, tout ces trésors me provoquaient une érection douloureuse, j'imaginais le tissu sur sa peau, tendu sur sa chaire ferme.Un jour, je remarquais une petite culotte dépassant de la corbeille de linge sale. Savoir qu'elle l'avait porté me mettait en état de transe. Religieusement, je la pris et constatais de légères traces de cyprine. Petite coquine, a qui donc pensais-tu à ce moment là ? Un de ces chanteurs au charme ravageur ? un sportif quelconque ? A moi, peut-être ?Me traitant d'idiot, je respirais avec bonheur, l'odeur suave et musquée de ma nièce adorée. Fébrilement je baissais mon pantalon puis enroulant le tissu autour de mon pénis, je me branlais avec extase.Partie faire du shopping dans la ville proche, j'étais sûr qu'elle en aurait encore pour deux bonnes heures. Grosse erreur de timing, je ne l'ais entendu rentrer...- Qu'est-ce que tu fais ???Figé, je tournais, lentement, la tête pour la ...