Anaïs, ma petie pute.
Datte: 21/11/2017,
Catégories:
Première fois
Inceste / Tabou
... rien.Anaïs non plus manifestement, elle se lâchait littéralement, gémissant son plaisir de se faire pénétrer. le visage relevé, elle se mordait les lèvres. Son corps, en sueur, tremblait sous nos assauts. Elle tentait vainement de manger nos bouches à tour de l'autre mais nos bites, conjointes, étaient bien plus fortes qu'elle n'aurait jamais pu l'imaginer. Aussi, se contenta-t-elle de s'agripper à moi et de laisser des vagues de jouissance l'envahir..J'aurais voulu que cet instant dure pour l’éternité. Je souhaitais aussi qu'on lui souille le visage de nos foutres mais l'excitation, les tendres parois de sa chatte qui m'aspiraient firent que je balançais le tout dans un long râle.Il ne tarda pas, non plus, a me rejoindre. Reprenant nos souffles, nous ne bougions pas. Son corps, serré contre les nôtres comme si chacun répugnait à se retirer. Puis, elle se désengagea doucement et fila vers la salle de bain d'un pas léger.Revenue parmi nous, Serge ne tarissait pas déloges sur ses prouesses, jamais, il n'avait rencontrer une telle professionnelle ! Ce savant mélange de jeunesse, de fausse innocence, non vraiment, elle avait réellement du talent !Je voyais bien qu’Anaïs buvait ses paroles. Qu'avais-je provoqué ? Ma nièce, devenir une réelle pute, même de luxe ? Après-tout, elle avait 18 ans, elle était donc libre de choisir sa voie.Au moment de partir, Serge se proposa de la raccompagner où elle le ...
... désirait.- Non merci, je dors ici... Pour cette nuit !- Oh ! Et bien, d'accord.. « Tonton » dit-il en me lançant un clin d’œil. En tout cas, jeune fille, si vous souhaitez rencontrer du beau monde, je peux vous mettre en relation et sûr ce, bonne nuit à tous ! Je crois que je vais dormir comme un bébé ! Avait-il deviné notre relation ? En tout cas, il n'en laissa jamais rien paraître et bien au contraire, il tint ses promesses et Anaïs ne tarda guère à naviguer dans les hautes sphères de la prostitution.Des fois, elle me racontait ses séminaires pour des cadres hauts placés où après une longue journée de conférences ennuyeuses, elle participait avec des filles de son âge à de délicieuses parties fines dans des suites de grand standing.Il y avait aussi ce magna des finances qui adorait qu'elle joue sa nurse, ne le masturbant que s'il avait fini sa purée-carotte..On chuchotait même que quelques hommes politiques n'étaient pas étrangers à ses charmes.Moi, j'avais beau l'avoir goûté, savouré sur le moindre centimètre carré de son corps, pénétré, un nombre incalculable de fois, je ne me laissais jamais d'elle et restais son plus fidèle client.Des fois, elle venait avec une nouvelle et jeune amie qui voulait s'essayer à cet univers de luxure. Elle disait que j'étais celui en qui elle avait le plus confiance. Presque comme un membre de sa famille...J'en étais honoré et bien sûr, amusé de notre petit secret à elle et moi.