Anaïs, ma petie pute. - Histoires de Sexe

Anaïs, ma petie pute.

... chatte que je rêvais épilée mais je ne voulais pas briser ce fragile équilibre qui s'instaurait entre nous et puis, avais-je le droit d’exiger quoi que ce soit ?Enfin, j'éjaculais dans un râle tandis qu'elle contemplait, fascinée je crois, cette coulée de sperme qui me souillait la main.- OK, ça va, c'est pas désagréable. Rien que ça, ça va te coûter 50 euros.- Je ne les ai pas sur moi..- Pas de liquide de toutes manières. Si tu veux continuer, on ira ouvrir un compte en banque et tu me feras des virements réguliers.- Et si je ne paye pas ?- De ta version à la mienne, la quelle croira le plus, papa ?- Si je me doutais..- Oh allez ! Tu veux mon cul ? Je veux ton fric. Deal ?- Et j'aurais ce que je veux ?- Oui, enfin, pas des trucs trop bizarres quand même. Dit-elle avec une adorable petite moue. Oh et épiles-toi si tu veux me la mettre dans la bouche , t'es poilu comme un singe ! Bonne nuit, Tonton, a demain !Autant dire que je ne dormis pas beaucoup, cette nuit là. Je la savais vénale mais à ce point ?? Je savais bien que j'avais un pied dans l’abîme mais comment résister ? Reprenant mon sexe en main, je fis le tour de tout mes phantasmes que je n'aurais jamais cru pouvoir réaliser.Et c'est ainsi qu’Anaïs devint ma pute attitrée. Elle me coûtait une véritable fortune, rien qu'une faciale valait dans les 200 euros mais l'argent ne posait pas problème et cette petite salope le savait bien. A sa décharge, je dois avouer qu'elle mettait beaucoup d'ardeur à satisfaire mes ...

... désirs.Je l'ai prise dans toutes les pièces de la maison et de la façon que je voulais. La sodomie lui était difficile, au début, et j'avoue que je prenais un plaisir pervers à écouter ses petits gémissements de douleurs.Rares étaient les moments où elle se refusait et encore, c'était surtout parce qu'elle se sentait trop irritée par mes innombrables coups de bite.Pas grave, je profitais, dans ce cas , de sa petite bouche. J'adorais particulièrement voir mon sperme posé sur sa langue.Des fois, elle l'avalait. Souvent, elle le recrachait sur ses seins pour mon plus grand plaisir, aussi.En général, elle ne restait que 3 semaines chez moi. Là, téléphonant à ses parents, elle leur annonça qu'elle prolongeait son séjour jusqu'à la rentrée, prétextant la rencontre de nouvelles copines qu'elle ne voulait pas quitter.J'étais aux anges. Multipliant les achats sur internet, je m'amusais à la déguiser, lui offrais différents accessoires que je lui imposais d'utiliser devant moi.Je la baisais, souvent à l'extérieur. La campagne environnante proposait assez de petits coins cachés pour se livrer à nos ébats et j'avoue que le faible risque de nous surprendre me procurait de délicieux frissons. Une fois, nous nous sommes même promenés en ville avec un plug anal que je lui avais demander d'enfiler. De plus, elle ne portait qu'une minuscule petite jupe sans culotte.Quel plaisir avait été de la prendre au cœur d'une petite ruelle déserte !Ce phantasme là, vida quasiment l'un de mes comptes mais je ne ...