Anaïs, ma petie pute. - Histoires de Sexe

Anaïs, ma petie pute.

... croyait, ça lui semblait énorme.. Le sourire béa, il lui rétorqua qu'elle n'était qu'une petite curieuse et qu'elle n'avait qu'a aller voir par elle même si ça l'intriguait tant..Joignant le geste à la parole, elle le défroqua et pris sa queue en main.- Houu.. Elle est grosse ! Plus grosse que tonton !- Tonton ?- Tonton Pierre, il aime que je l'appelle comme ça. Dit-elle avec une petite moue. Puis, se positionnant, elle remonta sa langue des couilles jusqu'au gland et voulu savoir si lui aussi, il voulait être son tonton ce soir..Voir son banquier, en chemise et chaussette, se faire pomper par sa nièce, n'est pas chose banale. Cette dernière se donnait à fond, comme d'habitude, se laissant même tenir la tête pour se faire asséner quelques bons coups de bassin. Ses bruits de déglutitions étaient comme une douce musique, je m'amusais follement, il était temps que je participe à mon tour.- Attention, ne va pas faire cracher notre invité trop vite !Avec un petit rire, elle s'essuya la bouche, d'un doigt léger et se mit entre nous.- C'est vilain si je veux qu'on me bouffe la chatte ? C'est bien comme ça qu'on dit ? Demanda-t-elle, faussement ingénue.- Mmm, c'est très vilain et coquin aussi.. Pierre, tu te lances ?- Vas-y mon ami, goûtes à son petit abricot , tu vas voir, c'est du velours..Aussitôt dit, Anaïs ne tarda guère à gémir sous la langue de son amoureux de banquier. Quand à moi, je me positionnais pour qu'elle me suce à mon tour.Nous n'étions plus que râles et soupirs. ...

... Même Serge ne pouvait s'empêcher de s'extasier en dévorant cette vulve bombée à souhait.- Mais c'est qu'elle mouille, notre petite princesse et pas qu'un peu !- Votre langue est magique, ronronna-t-elle.- Et maintenant, dis-moi, que voudrais-tu « découvrir » ?Le ramenant vers sa bouche, elle lui roula goulûment une pelle, avalant, du même coup, de son propre jus.Je m'étais toujours demandé si je la faisais vraiment jouir. Mon orgueil de mâle me l'assurait mais, il faut être honnête, je payais pour ses services, elle m'en donnait pour mon argent. Au fond, le reste ne comptait pas vraiment.Il n'empêche qu'après avoir lécher ses doigts dont elle s'était pénétrée, malicieusement, je ne pu que constater qu'elle dégoulinait littéralement. Peut-être était-ce son fantasme de baiser deux hommes à la fois, au bout du compte.Comme pour prouver mes dires, elle souhaita qu'on la prenne maintenant et ensemble..Je me souviens de cette soirée, il y a peine deux mois où, debout dans mon salon, elle s'était livrée à une danse, digne d'une jeune amatrice, pour que je me branle devant elle et la voilà, aujourd'hui, enfilant prestement nos préservatifs avec ses lèvres...Elle n'était qu'une poupée entre nos bras, si légère que nous l'avons prise debout, coincée entre nous deux. En bon hôte qui se respecte, je le laissais l'enculer.La sensation de son sexe, lui dilatant l'anus tandis que je lui besognais le vagin était indescriptible. De tout ce qui nous avait amené à ce moment, je ne regrettais ...