Évaluations à chaud
Datte: 22/11/2017,
Catégories:
fff,
fagée,
jeunes,
profélève,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
nopéné,
lettre,
... estampes que les jardins zen. La transparence et l’absence de ceinture de ce vêtement suggèrent qu’il doit se porter sur une tunique ou des dessous que l’on a manifestement négligé de me confier. Tant pis, il me suffit de ne pas oublier de tenir les pans fermés pour rester correcte ! Tu n’as pas ce genre de problème, quoique ta tenue soit tout aussi équivoque. Le rouge éclatant de la longue robe sans manches qui te pare capte immédiatement l’attention. La broderie or qui court autour de la profonde échancrure et se prolonge en droite ligne jusqu’au bas souligne ta haute silhouette. Le bout des ballerines noires soulève alternativement l’ourlet rehaussé de la même broderie à chacun de tes pas. Cela pour la vision de face. De profil, on remarque que la robe est entièrement fendue de haut en bas, à peine retenue par trois longs rubans noirs des aisselles à la taille et révélant la peau nue. Le moindre mouvement dégage la hanche et la jambe. Côté pile, si le dos est couvert, le tissu se sépare depuis les reins en deux revers légèrement superposés. L’aisance y gagne, certes, mais il faut prendre garde quand on se penche… Sans prêter nulle attention à la mise en évidence de tes formes ni aux regards qu’elle attire, tu files directement vers la table qui te sert de bureau et rameutes auprès de toi tes brebis soudain redevenues muettes et attentives. Pendant que tu commences à les questionner sur leurs ressentis personnels et leurs observations réciproques, je me glisse le plus ...
... discrètement possible vers un coin de la salle. Je ne veux pas m’immiscer dans cet épisode pédagogique, et de toute façon j’ai besoin de m’isoler un moment pour faire le point sur mes propres sentiments après les différentes péripéties que je viens de vivre. Ce qui m’étonne le plus c’est de me sentir à l’aise. Même la honte éprouvée lors de ma mise à nu sans pitié ne parvient pas à ternir cette impression. Je me souviens pourtant bien de mon désespoir à ces instants-là, mais ce souvenir n’est curieusement pas si désagréable que cela ! Non, finalement, j’aurais plutôt quelques remords en repensant à mon comportement débridé avec Magali et Céline dans la baignoire. Cependant, l’intensité du plaisir pris et la joie du plaisir donné l’emportent largement, si je suis honnête avec moi-même, sur mes derniers scrupules… Quant à la charmante réunion privée avec notre hôtesse et à l’exhibition intime qui s’en est suivie, eh bien, je n’y vois au fond rien que de très naturel. Deviendrais-je, ou me révélerais-je, une vraie gourgandine, en fait ? La séance d’évaluation se poursuit. J’entends distraitement les propos que vous échangez. Le côté professionnel de cette formation ne m’intéresse pas. La lassitude qui commence à m’envahir assourdit votre conversation. Je laisse aller mes pensées dans ce ronronnement. Je revois les yeux de Marie-Blanche fixés sur ma chatte. Son envie évidente d’y poser les doigts m’avait flattée. Sa lutte intérieure contre son désir nous avait émues, Aline et moi, au ...