1. Évaluations à chaud


    Datte: 22/11/2017, Catégories: fff, fagée, jeunes, profélève, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, nopéné, lettre,

    ... point de mettre brusquement terme à sa tentation. Maintenant, j’en suis frustrée. Mon excitation n’a pas été satisfaite, elle revient plus forte. Le besoin de combler ce vide s’empare de ma main. J’imagine ce qui se serait passé si ses doigts… Il faut vite se changer les idées ! Je me force à reporter mon attention sur votre petit groupe : toi, assise, professant d’une voix calme ; elles, dociles, penchées autour de ton bureau comme les rayons d’une étoile. Tiens, ces demoiselles n’ont pas été autorisées à remettre leur culotte si j’en crois les diverses rondeurs fendues, et, disons-le, charmantes, que révèlent les hauts trop courts. Sous les robes ou les jupes, c’est à peine moins visible, mais la position qui tend les tissus légers ne laisse guère de doute. Je me souviens que, lors de ton inspection des lingeries intimes, tu avais fait abandonner leur pantalon à celles qui avaient eu l’inélégance de se présenter dans cette tenue. Évidemment, un tablier de soubrette porté à la place, aussi seyant soit-il, laisse les fesses à l’air. Se pénètre-t-on plus facilement des enseignements, ainsi dévoilée ? L’idée m’amuse, j’observe plus attentivement la scène. Certaines essaient de conserver une posture la plus discrète possible, d’autres ont moins de retenue. Mais quand l’une ou l’autre doit se courber un peu plus pour mieux suivre tes paroles, cela revient au même et j’aperçois furtivement quelques jolis abricots de dessins et de teints variés. Aussi variés que leurs parfums ...
    ... et leurs sucs, me dis-je, rêveuse… Houlà, voilà que mon démon familier se réveille ! Je détourne les yeux avec regret pour ne pas lui donner matière à me subvertir plus encore. Les dossiers des chaises inoccupées sont nus. Où sont donc passées toutes leurs affaires délaissées ? Je les repère enfin rassemblées sur une table face à la porte d’entrée. Sans un esprit plus troublé que je le pensais, je les aurais immanquablement remarquées en revenant dans la salle. Les jeans sont soigneusement déposés à plat, mais les culottes sont joyeusement mélangées dans un tas sans forme. Bon courage pour retrouver rapidement quoi est à qui : on dirait un rayon en période des soldes. Seul un malheureux chiffon est posé à l’écart, isolé par l’humidité qui en a ruisselé. Je reconnais la culotte de Déborah. Pauvre Déborah obligée de l’utiliser pour éponger les débordements de ma baignoire. Son anxiété lorsque tu l’as réprimandée me revient en mémoire. Je me demande si elle s’est un peu rassérénée au fil de la séance, mais je ne la vois que de dos, à côté de toi. Elle ne semble donc pas t’en vouloir. À moins qu’elle n’espère assouplir ta sentence par un surcroît d’application… En tout cas, il y a quelque chose de tendu dans son attitude. Pas seulement ses fesses qu’elle tient crispées, le sillon serré accentuant ainsi la fermeté de son cul musclé, mais aussi ses cuisses étroitement jointes et ses mollets raidis me font soupçonner une réelle inquiétude de la sanction à venir. D’ailleurs, je ...
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