Évaluations à chaud
Datte: 22/11/2017,
Catégories:
fff,
fagée,
jeunes,
profélève,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
nopéné,
lettre,
... m’interroge moi aussi sur la sorte de punition que tu lui réserves. Comme si elle avait ressenti mon regard, Déborah se retourne un instant vers moi. Je perçois un air de défi dans ses yeux, voire une ombre d’hostilité. Je n’ai pas le temps de rougir qu’elle se penche à nouveau vers toi pour une question que je ne saisis pas. Elle a parlé d’une voix assez basse pour n’être entendue que de ses collègues qui l’approuvent d’un hochement de tête unanime. Ton rire et ta réponse me sont par contre parfaitement distincts : — Non, non, je vous l’assure, Chantal est une personne parfaitement honorable. Ce n’est en aucune façon une professionnelle, ni de la formation, ni d’autre chose ! Simplement une amie de confiance qui a eu la gentillesse de m’assister pour vous aider à progresser dans votre service. Je lui en suis très reconnaissante et vous aussi, je pense, vous pouvez la remercier pour son don de soi. Puis, en t’adressant à moi, tu ajoutes : — Tu devines sans doute la question que vient de poser Déborah? Ta prestation a été si convaincante, ma chérie, qu’elle a suscité les mêmes interrogations chez mes collaboratrices que pour cette bonne madame C** qui nous accueille avec tant d’empressement. Bien sûr que je comprends ! Être prise pour une praticienne de l’érotisme par une bourgeoise mûre aussi bien que par des gamines délurées n’est pas si déplaisant. Je ris à mon tour, de bon cœur, et j’essaie de mettre toute ma sincérité dans ma réponse. — Vous me flattez, Mesdemoiselles ! ...
... Mais il faut remercier aussi Magali et Céline qui ont si bien travaillé à l’agrément de mon… apport ! Les deux intéressées affichent une mine d’autant plus heureuse que tu renchéris : — Tu as raison, Chantal. D’ailleurs je leur ai donné une évaluation très positive. Je sais maintenant que je peux compter sur elles en toute circonstance… Pour les autres, poursuis-tu, dans l’ensemble, elles ont bien intégré le genre de situation qu’elles auraient à gérer. Mais, si plusieurs paraissent aussi douées que dévouées, il faudrait que je puisse m’en assurer pour chacune. Te sens-tu prête à reprendre du service, disons demain ?— Oh mon Dieu, fais-je sur un ton faussement résigné, puisque c’est pour les aider, je veux bien faire un effort. Même ce soir, s’il le faut !— Coquine ! Laisse-leur le temps de dîner, quand même ! Ta réponse déclenche un éclat de rire général qui libère les stagiaires de leur tension. Même Déborah participe aux applaudissements qui me sont généreusement accordés dans une amicale hilarité. Flattée pour de bon cette fois, je m’incline dans une profonde révérence qui a pour effet d’écarter largement les pans de mon kimono. Je n’en ai cure : elles ont déjà eu tout loisir de scruter ma nudité et toutes en auront eu demain l’occasion d’en observer les moindres détails intimes. Dans les rires et les claquements de mains qui redoublent, je ne m’attache qu’à tes yeux qui me prodiguent encouragement et tendresse. C’est alors que la voix de notre hôtesse tente de dominer le ...