1. Évaluations à chaud


    Datte: 22/11/2017, Catégories: fff, fagée, jeunes, profélève, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, nopéné, lettre,

    ... brouhaha : — Excusez-nous… Euh… Pardon de vous déranger, Madame Aline. Madame C** se tient à la porte de la salle qu’elle s’est résolue à ouvrir sans toutefois oser entrer, sans doute de peur de troubler nos travaux. Le temps nécessaire pour réussir à mobiliser notre attention lui permet de contempler la scène, sans s’étonner maintenant des fesses et du ventre qui s’offrent sans voile à son regard. Le léger sourire qui éclaire son visage prouverait même qu’elle apprécie le spectacle. Le calme revenu, elle s’avance vers nous en entraînant à sa suite deux jeunes filles dont les figures ahuries trahissent plus l’incompréhension que le trouble. Je me rajuste en hâte. — Pardonnez-moi ma chère Aline, répète-t-elle, nous avons frappé, mais vous ne sembliez pas entendre. J’espère que je n’ai pas interrompu un moment important ?— Du tout, chère amie ; nous avions tout juste terminé la séance. C’est moi qui vous prie d’excuser ces manifestations un peu intempestives, souris-tu. Elles m’ont empêchée de vous accueillir comme il se doit. Mais vous savez combien la jeunesse a besoin de se détendre !— C’est bien naturel, voyons ! Vos stagiaires et votre assistante ont eu une fin de journée bien remplie. Sans parler de vous-même, dont j’ai pu admirer l’implication et la conscience professionnelle ainsi que je le disais à l’instant à ma petite cousine. — Allons, ne me faites pas rougir ! Je suis heureuse de voir que votre jeune parente est enfin arrivée.— En retard, en effet, mais elle ...
    ... tenait tant à vous rencontrer ! Elle est venue avec une amie, comme je vous le disais tantôt. Puis-je vous les présenter ? Madame C** sollicite par politesse un acquiescement qu’elle sait superflu, car elle pousse aussitôt ses deux protégées devant elle en poursuivant, volubile : — Voici donc Viviane, ma jeune cousine. Sa mère, ma belle-cousine en fait, demeure trop loin pour qu’elle puisse y retourner tous les week-ends. Je suis très heureuse de la recevoir le plus souvent possible. Et puis voici Clémence, sa meilleure amie, je crois. Elles sont inséparables depuis le collège ! C’est vraiment un plaisir de les avoir toutes les deux ; elles égaient ma solitude dans cette grande maison. Leur jeunesse est un ravissement. D’ailleurs elles sont aussi gentilles que discrètes. Au point, voyez-vous, de vouloir dormir dans la même chambre pour m’éviter trop de dérangement ! Que c’est mignon en effet ces amitiés adolescentes qui se resserrent au fil des années et des découvertes de la vie… Nous sourions en signe d’approbation, sans être tout à fait convaincues de la naïveté de notre hôtesse. La discrétion n’est sans doute pas la seule raison de ce désir de chambre commune. Les stagiaires qui se sont modestement retirées de quelques pas n’en sont pas dupes non plus, car je surprends les regards amusés qu’elles échangent. Madame C** continue de discourir abondamment sur les qualités, évidentes pour elle, de ses jeunes invitées. À l’entendre, ce sont deux grandes filles modèles, pleines de ...
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