1. Évaluations à chaud


    Datte: 22/11/2017, Catégories: fff, fagée, jeunes, profélève, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, nopéné, lettre,

    ... que nous laissons la priorité des choix et des places aux stagiaires. Tu me pousses du coude d’un air satisfait en me montrant Viviane et Clémence serrées avec Margot, Sophie et Cyrielle. Elles continuent de pépier avec entrain dans une harmonie propice à des échanges de plus en plus confiants. Madame C** a tenu absolument à nous céder la préséance et tu m’as laissée passer la première. J’arrive donc devant Sandrine, mon plateau chargé dans les mains, les pans du kimono flottant sur mes flancs, les seins et le ventre nus. La gamine n’a pas cessé de m’observer depuis le bout de la table, fixant sans gêne le ballottement des lolos et la broussaille du pubis. Avant qu’elle ne me tende le bol contenant sa spécialité, je lui adresse un gracieux sourire accompagné d’une flexion des genoux, cuisses bien ouvertes. J’ai le petit plaisir de la voir rougir. La table libre qui nous a été obligeamment réservée par les stagiaires est sensiblement moins large que les autres et n’accueille que trois chaises. Madame C** semble découvrir que les trois plateaux vont par trop encombrer la surface en verre transparent. Elle nous conseille de n’y déposer que nos bols et nos verres – du rosé frais, pour l’anecdote – et demande à Sandrine de reprendre le reste pour nous servir au fur et à mesure. Nous faisons assaut de courtoisie avant de nous asseoir de concert. Le contact du léger cuir qui couvre le siège rafraîchit agréablement mes fesses. Par précaution, j’ai relevé le bas de mon vêtement ...
    ... pour ne pas me poser sur le précieux tissu et tu as de même retroussé ta robe sur tes hanches. Pendant le traditionnel, quoiqu’un peu commun, échange de « bon appétit », je promène mon regard sur nos commensales. Je remarque que Déborah est restée debout, isolée à l’autre extrémité de la salle. Intuition ou habitude, elle a compris qu’elle devait se tenir à l’écart et attendre. À la voir toute droite, les yeux baissés, les jambes nues jusqu’en haut des cuisses, je me promets de trouver un moment pour la réconforter. Ses consœurs en tout cas ne prêtent guère attention à elle en dégustant le velouté si vivement recommandé par notre hôtesse. À première vue, sa couleur vert sale, parsemée de minuscules points d’un vert plus sombre, n’incite pourtant pas à se pâmer. Je goûte prudemment, par politesse, et mon palais est ébloui. La texture est d’une finesse inattendue, la saveur d’une indéfinissable douceur, le bouquet délicatement citronné, l’ensemble… un délice ! Je me tourne vers Sandrine pour lui en faire compliment, mais elle a disparu. En reportant mes yeux vers madame C** (ou dois-je dire Marie-Blanche ?) pour la féliciter par défaut, je découvre le petit manège qu’elle a probablement manigancé. Répondant distraitement aux louanges que tu lui exprimes sur le même sujet, elle est tout occupée à fixer alternativement, quasi avidement, ce qu’elle peut voir de nos anatomies à travers le verre de la table. Cette passion inopinée et mal dissimulée pour les chattes me touche. Tu t’es ...
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