1. Évaluations à chaud


    Datte: 22/11/2017, Catégories: fff, fagée, jeunes, profélève, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, nopéné, lettre,

    ... également aperçu de son intérêt récemment révélé. Alors, d’un commun accord, sans nous consulter, nous ouvrons largement nos cuisses pour qu’elle puisse se régaler tout son saoul. Surprise dans son voyeurisme dont elle se sent malgré tout honteuse, la scrupuleuse Marie-Blanche s’empourpre. Mais tes paroles pour la déculpabiliser sont brusquement interrompues par le retour de sa jeune bonne qui apporte un haut tabouret de bar. Notre fausse pudibonde saute sur l’occasion. — Ah, oui, je voulais vous dire, chère Aline, j’ai demandé à Sandrine d’aller chercher cet objet. J’ai pensé que vous en auriez peut-être l’usage… pour Déborah, ajoute-t-elle d’une voix plus étouffée.— Oh, mais quelle excellente initiative ! Voyez-vous, je n’y aurais pas pensé de moi-même, l’assures-tu hypocritement. Votre Sandrine pourrait-elle l’approcher jusqu’ici ? Celle-ci obéit immédiatement au signe d’assentiment de sa patronne. Arrivée près de notre table, elle domine son étonnement devant le spectacle sans voile qu’elle découvre. Seul le ton légèrement plus aigu de sa voix trahit son émotion lorsqu’elle s’enquiert de l’endroit où mettre le tabouret. Tu lui indiques de le poser à trois ou quatre mètres de notre table, en face de notre hôtesse, en la remerciant d’un gentil sourire avant d’appeler Déborah. — Venez prendre place ici, Mademoiselle, vous serez plus à l’aise… Et tandis que Sandrine l’aide à grimper sur le siège, tu poursuis d’une voix aimable : — Vous avez même un barreau qui supportera vos ...
    ... pieds assez haut pour tenir commodément votre plateau sur les genoux… à condition de les garder écartés, bien sûr, achèves-tu ironiquement.— Bien, Madame Aline, merci, répond-elle avec un sourire résigné. Se disposant selon tes conseils, elle révèle à nos yeux – et surtout à ceux de Marie-Blanche – un noir et touffu triangle fendu d’une belle entaille rose. Elle entame son repas le visage impassible, seulement attentive à maintenir l’équilibre de son plateau. Je ne peux discerner si nos regards sur sa motte la gênent, la ravissent, ou l’indiffèrent. Cette fille m’intrigue. Je trouve du charme à sa sombre sérénité qui tranche sur la légèreté de ses jeunes collègues. En moi-même, j’ajoute la promesse de mieux la connaître à celle de la réconforter. Je profite du moment où Sandrine dessert notre table pour lui dire tout le bien que je pense de son velouté. Dans le mouvement qui me penche en arrière pour appuyer mes éloges d’une amicale pression sur le bras, je lui expose ma poitrine et le reste. Je ne sais si ce sont mes compliments ou mes appâts qui la font sourire, mais elle paraît contente. Je lui souris en retour sans changer ma position qui offre d’ailleurs une vue plus dégagée de ma chatte à Marie-Blanche. Elle aussi en sourit. Est-ce mon mauvais exemple que tu imites ? Tu t’appuies au dossier en avançant les fesses au bord de ta chaise, les jambes tendues comme pour les délasser. Les mollets écartés, bien sûr, pour ne pas risquer de faire du pied par inadvertance à notre ...
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