En retard à l'hotel Triangle
Datte: 22/11/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
prost,
hotel,
amour,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
pénétratio,
tarifé,
... tissu du temps, s’est déroulé un surréaliste et interminable aller-retour entre des baisers langoureux et voluptueux et des chaudes larmes qui rejaillissaient par intermittence, comme si deux états émotionnels opposées advenaient simultanément dans deux réalités différentes et superposées. Sa langue avait au début, un arrière goût du sandwich qu’elle avait dû engloutir à la gare, ce goût qui partait progressivement, remplacé par le vrai bon goût de sa salive fraîche, m’aurait rebuté chez toute autre que Kristina. Progressivement mes mains passaient sous le tissu soyeux de sa robe blanche, glissant du rêche de ses bas à la sublime douceur de ses fesses arrondies, passant au-dessus de l’élastique du porte-jarretelles assorti. Régulièrement je prenait un peu de recul pour regarder son visage parfait, je me pinçait mentalement (c’est possible) et je poussais des soupirs d’admiration en caressant son corps doux et terriblement excitant. En peu de temps je fus à court d’onomatopées. Ses larmes avaient cessées et sa respiration s’était accélérée. Elle s’était mise à respirer fortement entre ses dents serrées, à émettre ce « tssss » caractéristique, ce son tantrique qui est aux femmes ce que le ronronnement est aux félins. Je lui proposai de prendre un bain à deux pour qu’elle se détendît, mais ne pouvais m’arrêter de l’embrasser, de la pétrir, de la caresser, de la déshabiller, c’est ainsi nous ne sommes arrivés à la salle de bain qu’une petite heure et demi et quatre orgasmes ...
... plus tard. C’était un accès de fièvre luxurieuse comme on en vit peu : nous ne pouvions pas nous arrêter de nous embrasser, de nous sucer, de nous caresser, de baiser dans toutes les positions et sur tous les meubles ainsi que des animaux pris de frénésie lubrique. Aucun recul n’était permis. Elle me suçait de façon merveilleuse et elle me souriait avec son air entendu. Elle m’avait allongé sur le dos, et le temps de me couvrir d’un préservatif, elle me chevauchait goguenarde réalisant l’ensemble de l’opération sans quitter mon regard une seconde. Je profitais de cette position passive pour tenir la distance tant bien que mal le plus longtemps possible. Je ne voulais pas la décevoir. Je m’en tirai avec les honneurs si l’on tient compte du fait que je suis très sensible à la beauté féminine et à la manifestation du désir des femmes : Kristina était probablement la fille la plus belle que j’ai vue de ma vie et elle était complètement en chaleur. Légèrement en arrière, elle me surplombait de toute sa splendeur, ses cheveux dorés cascadaient sur ses épaules et sur ses seins charmants et rebondis, et ils tressautaient au gré du rythme que, sur le dos, je leur imprimais, ils me caressaient le visage lorsqu’elle se baissait pour m’embrasser, puis s’éloignaient de nouveau lorsqu’elle se redressait. Elle eu son premier orgasme en me chevauchant, puis un deuxième lorsque lassé de cette passivité je lui fit poser les épaules au sol, dans un retournement de situation gréco-romain digne des ...