En retard à l'hotel Triangle
Datte: 22/11/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
prost,
hotel,
amour,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
pénétratio,
tarifé,
... jeux olympiques, en quelques secondes, elle jouissait de nouveau m’immobilisant, le corps arqué, comme si un mouvement de plus l’aurait pu extraire de ce moment d’extase, et là, miraculeusement, ses pulsations internes eurent raison de ma volonté. Après un quart d’heure, je rebandais déjà et je me proposais de la faire jouir avec ma bouche et mes doigts. Devançant l’appel, elle s’était dressée sur ses coudes et sur la plante de ses pieds et projetait son pelvis vers le haut en direction de ma langue dans une attitude absolument impudique et joyeuse. Sa vulve parfaitement nue était aussi belle que le reste de sa personne et sentait incroyablement bon, je tendis la langue et vérifiai derechef que sa cyprine avait le goût délicieux que j’avais imaginé. Ivre de ses phéromones, je m’abandonnais à des comportements inacceptables, reniflant bruyamment ses effluves, dardant ma langue dans son vestibule, tétant son clitoris comme un nourrisson affamé tandis que, de deux doigts recourbés, j’appuyais de façon répétée sur le bouton de l’ascenseur à destination du septième ciel. Il vint et l’emporta dans les étages éthérés. Elle jouit convulsivement en crispant ses mains dans mes cheveux. – I’m coming ! Baby, I’m coming ! Oh my god, it’s crazy ! C’était mon tour, je lui laissai bien trois secondes pour souffler, puis je lui tendis un préservatif. J’aime bien ne pas le mettre moi-même, d’abord parce que la démonstration de savoir faire prestidigitateur d’une fille avec une capote est ...
... toujours très excitante, mais surtout pour m’éviter l’humiliation systématique de tenter de la passer à l’envers. Le sens des capotes est un grand mystère de l’univers pour moi et me permet de revérifier à chaque fois la loi de Murphy. Ma détermination était sans failles : J’allais lui faire subir mes assauts libidineux dans toutes les positions, cela faisait un demi-heure que j’avais joui, je savais que j’allais tenir longtemps, je n’avais plus besoin de me retenir, au contraire, alors comme ces vieux champions de tennis qui n’ont plus le souffle qui va avec leur jeu, je tentais des sprints forts appréciés, puis j’étais forcé de ralentir par mon rythme cardiaque, alors elle me redonnait du courage en me disant « fuck me, oh please, fuck me, my darling !» en frappant sur ma fesse gauche le rythme accéléré qu’elle voulait subir. Quelques minutes et deux crises cardiaques évitées de peu plus tard, elle avait joui de nouveau et je sentais qu’elle se fatiguait. Je la retournai, sur ses coudes et genoux – l’ultime position que je garde pour la fin en général, tellement avec elle, il m’est difficile de conserver mon sang froid – pour une chevauchée sauvage épuisante, rythmée de quelques claques sur sa fesse gauche plus sonores que douloureuses, en hommage aux films de Walt Disney (tels que « Rocco et son frère Nacho ») et nous mourûmes ensemble de notre petite mort, en criant longtemps, sans égards pour Béatrice, l’employée de l’hôtel qui passait l’aspirateur à l’étage. Kristina, fumait ...