En retard à l'hotel Triangle
Datte: 22/11/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
prost,
hotel,
amour,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
pénétratio,
tarifé,
... non plus.— C’est ce que tu es censée dire… C’est ce que t’as dit de dire Serena ? Elle reprend l’air sérieux. — Serena ne m’a rien dit et de toute façon je fais ce que je veux et si tu ne m’avais pas plu quand je t’ai vu, je t’aurais dit que j’étais très malade, et que je devais aller à l’hôpital, je t’aurais demandé de m’accompagner… et tu aurais refusé.— Et ça marche ?— Généralement c’est radical, mais toi, tu ne me plais pas qu’un peu, tu me plais beaucoup, tu es très mignon : j’adore tes yeux… et ta bouche… et ta langue…. et tes doigts…— You slut !— Viens par ici. En plus tu le sais. Elle avait tort, je ne savais rien du tout. Mais cela ne me dérangeait pas, j’ai toujours eu peu de considération pour les hommes qui semblent se trouver beaux. Je tirais même fierté de devoir ma séduction à mon caractère, que j’ai forgé, ou à mon argent, que j’ai gagné, plutôt qu’à une certaine conformation de mes os que j’aurais héritée de mes géniteurs. Elle s’approche et elle me dit avant de l’engloutir « et surtout j’adore ta bite. » C’est curieux comme ma bite a toujours été beaucoup plus sensible que moi aux déclarations d’amour. À ces mots, ne se sentant plus de joie, elle se dresse vigoureusement avant de disparaître entre ses lèvres. — On se reverra, dis ?— Bien sûr, bien sûr… Continue comme ça !— Et je te promets, tu pourras me le faire… Tu pourras m’apprendre, tu as l’air de bien t’y connaître. Je pris l’air ébahi. C’était le monde à l’envers, une après-midi qui coûtait plus ...
... de deux SMIC, on s’attendrait à tomber sur une super geisha, et là, c’était moi qui devait lui apprendre des choses. C’était peut être cela le grand luxe, une fille normale avec peu d’expérience, avec juste un petit détail : elle était incroyablement belle, une fille comme on n’en voit que dansElle ouVogue ou les pub deL’Oréal. — Tu sais, je fais ce truc depuis trois mois seulement et avant cela j’étais une fille très sérieuse, j’ai connu mon premier garçon il y a trois ans à dix-neuf ans. Elle me regardait très sérieusement, mon pénis dans sa main refermée, avec l’air un peu offensée de celle qui dit « j’espère que tu ne me prends pas pour une pute ! » — Cela se voit, tu es vraiment différente des autres. Et en disant cela, j’arrivai à ne pas rire de ce lieu commun, car c’était vrai au fond, je n’avais pas rencontré de fille comme elle depuis Flora. De fille qui me fasse cet effet. Je lui pris la tête dans mes mains et l’embrassai doucement, puis passionnément, je la renversai en arrière sur le lit tandis que sa main tâtonnait à l’aveugle pour récupérer un des préservatifs dont j’avais recouvert le lit. Il y eu un en haut, il y eu un en bas, quatrième couvert. Je la pris longuement, elle sur le dos, ses cuisses reposant sur mes bras, moi complètement dégagé des contingences de durée, elle mit un peu plus longtemps pour avoir un orgasme, comme je la sentais faiblir, je la retournai sur le ventre en position du sphinx, elle les talons serrés, sur un coude et une main sous le ...