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Gwendoline
Datte: 22/11/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... pour dégager le dard décapuchonné hors mon boxer. Imaginez les sangles du harnais six points encadrant ma tige dressée entièrement à la merci de sa main préhensile. Gwendoline méritait les fantasmes attachés à son prénom de sorcière libidineuse qui hante les films de soft porno. Elle avait dégagé mon gland et serrait la tige par en dessous. Je sentais cette fille prendre en main un cornet pour porter la boule de vanille glacée à ses lévres pour la goûter pour l'aspirer pour la sucer. Je sentais tout le bonheur du monde venir à moi tout en vivant simultanément l'aventure violente de la capsule spatiale en labyrinthe d'astéroïdes. Et j'étais paralysé, statufié, incapable de réciprocité. Je pensais mais prends donc toi-même ses seins sans tes mains et joue de leur moelleux pour lui dire à ton tour ta tendresse. Mais rien ne venait, comme si je n'étais qu'un fétu de paille sans volonté sans vie propre. Perdu dans l'immensité intergalactique. Les mouvements de la capsule étaient violents, l'image 3D d'une réalité puissante. Les mouvements de la fille sur ma tige ont eu tôt fait de déclencher puissante giclée spermatique qu'elle a sournoisement dirigée sur la nuque des passagers du siége de devant. Comme pompier avec sa lance sur les flammes, backfire. Puis elle s'est penchée pour emboucher et calmer la buse en buvant les dernières lancées avant de réempaqueter l'affaire dans les plis du denim. La capsule était arrivée à destination et dans un grand bruit d'atterrissage les ...
... lumières se sont rallumées. La fille à ma gauche paraissait indifférente, cou hautain, comme si de rien n'était. N'avait été. On est tous descendus du véhicule spatial aprés avoir déclipsé nos harnais. Moi, je suis resté près d'elle et ai voulu marquer ma reconnaissance en me frottant à ses fesses. Mais elle a réagit en sursaut et s'est éloignée, comme fille sage qu'un voyou aurait voulu forcer. Gwendoline, t'es pas un peu chavirée, non ? On a continué notre périple, menés par Xavier Niel. L'attraction dont je vais vous parler maintenant est particulièrement émouvante. C'est une sorte d'hôtel en ruine, très haut, au moins quinze ou vingt étages, un peu hanté... enfin genre américain début vingtième. L'idée forte de ce truc-là, c'est l'ascenseur. Un peu Shinning de Kubrick si vous voyez... La fille s'est assise entre Niel et moi et j'ai pensé, ce coup-ci ce sera son tour à lui de jouer les pompiers. Là encore on était harnachés d'un treillis de ferraille pour pas pouvoir s'envoler. Niel semblait serein, ne craignant rien. On avait fait la queue près de la batterie d'ascenseurs dans une atmosphère sombre et poussiéreuse genre sciècle dernier. Les dits ascenseurs grinçaient comme machineries hors d'âge plus trop à même de remplir leurs rôles mécaniques. Xavier n'avait d'yeux que pour le casque d'or de Gwendoline et moi je me demandais comment cette aventure si bien entamée allait évoluer. Surtout que la fille jouait à mon égard les indifférentes. Et j'en étais désespéré. Je me disais, ...