Panique au Trip Hot Club
Datte: 23/11/2017,
Catégories:
fh,
boitenuit,
Oral
Partouze / Groupe
policier,
Camille suçait bien. Elle s’appliquait. De temps à autre, sa tête blonde se relevait et elle me jetait un regard provocateur avant de loucher sur mon sexe luisant pour le lécher sur toute sa longueur ou se le glisser doucement en bouche. Elle savait s’y prendre, au besoin en y ajoutant les mains. Je croisai à nouveau ses prunelles brillantes tandis qu’elle se passait sur les lèvres une langue gourmande. Visiblement, elle s’amusait. Essentiellement parce qu’elle faisait partie de ces femmes qui ressentent un intense plaisir lorsqu’elles prennent un homme « en mains ». Placée dans une situation où certaines se sentent dominées, voire humiliées, Camille devait éprouver un sentiment de puissance. J’avais déjà eu la satisfaction de profiter de ses talents lors d’une précédente soirée et, à ma grande surprise, je l’avais conduite à l’extase en la touchant à peine pendant qu’agenouillée près de moi, la croupe à portée de main, elle s’activait dans une langoureuse fellation. Elle m’expliqua par la suite qu’il lui arrivait de jouir rien qu’en taillant une pipe à un mec, ce qui m’avait étonné, mais pourquoi n’y aurais-je pas accordé foi ? Je m’étais de toute façon rendu compte que même si ça ne lui suscitait pas d’orgasme, ça l’amenait à un état d’excitation hors du commun. Je m’étais déjà dit que, mouillée comme elle l’était lorsqu’elle avait une bite dans la bouche et qu’elle lui faisait cracher son jus, elle devait être prête à tout. Je m’étais surpris à souhaiter qu’elle se ...
... laissât prendre en levrette en même temps ou, mieux, fister à fond. Je n’en étais cependant pas là et, me mordant la langue pour résister à la montée du plaisir, j’essayais de retarder l’échéance en pensant à autre chose. La bougresse s’en rendait compte, et je vis un sourire satisfait étirer sa bouche et plisser les coins de ses yeux quand elle me regarda de nouveau. Elle lâcha un moment mon sexe, pour me caresser le ventre et se pencher pour me lécher les couilles, ce qui me laissa le loisir de souffler un peu. Camille guettait l’expression de mon visage, ses doigts se promenèrent sur mes cuisses avant de revenir saisir ma bite, sur laquelle elle loucha pour y poser les lèvres, puis le bout de la langue. Un léger soubresaut, une soudaine pulsation la renseignèrent à nouveau sur mon état. Elle demeura immobile et sourit en regardant la petite goutte qui perlait au sommet du méat, puis je la vis froncer les sourcils et clore les paupières. Agenouillée sur le tapis, entre mes genoux, les avant-bras sur mes jambes et les mains posées sur mon bas-ventre et entourant la base de mon sexe, elle se concentrait. Je distinguais les mouvements de son bassin, les contractions et les relâchements qui agitaient ses cuisses l’une contre l’autre et l’application qu’elle mettait à provoquer, à elle seule, mon plaisir et le sien. Une série de gémissements me firent lever les yeux et découvrir le visage de Ghislaine, puis son expression d’extase tandis que son corps nu s’activait sur celui de ...