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Panique au Trip Hot Club
Datte: 23/11/2017, Catégories: fh, boitenuit, Oral Partouze / Groupe policier,
... toux. Ghislaine se leva et tira sur moi la couverture. Je fermai les yeux en m’interrogeant sur l’avenir : qu’allait-il se passer ? Je pouvais dénoncer Ghislaine et ses potes, les faire coffrer… ou au contraire ne rien dire et inventer une quelconque histoire d’agression pour justifier auprès des collègues le triste état dans lequel je me trouvais. J’étais trop las pour penser efficacement et pour prendre des décisions. Lorsque je sentis le corps nu de Ghislaine se couler contre le mien, j’eus d’abord un léger frémissement, puis je perçus la chaleur de sa peau. — Je ne veux pas que tu aies froid, murmura-t-elle près de mon oreille. Je me laissai glisser dans un sommeil ouaté. Lorsque j’en émergeai, bien longtemps plus tard, j’avais toujours l’impression d’être passé dans un malaxeur, mais je n’avais plus de frissons. Ghislaine n’avait pas bougé. Je pris entièrement conscience du contact de son corps, de ses formes rondes et pleines, et de sa main qui se baladait sur mon torse et sur mon ventre. Plus bas, mon sexe prit de la vigueur quand elle y promena les doigts. — Ça va mieux, toi ! gloussa la jeune femme. Tout à coup, elle se redressa et repoussa les couvertures. Elle se plaça au-dessus de moi et je la vis sourire. Sans doute s’imaginait-elle que j’avais assez d’énergie pour faire des galipettes, mais j’étais loin du compte. Elle se passa soudain la langue sur les lèvres et, avec une expression gourmande, se pencha sur mon ventre. Ses mains entourèrent doucement mon sexe qui s’était presque entièrement redressé, et elle me regarda une nouvelle fois en approchant la bouche du sommet de ma hampe. — Tu vas voir, Ludwig, promit-elle très sérieusement. Moi aussi, je vais te faire jouir. Et mieux encore que cette salope de Camille !