1. Panique au Trip Hot Club


    Datte: 23/11/2017, Catégories: fh, boitenuit, Oral Partouze / Groupe policier,

    ... peine contenus), et ensuite parce qu’il n’est jamais flatteur de se faire remonter les bretelles en public. — On vous trouve la bite à l’air et avec du… du… dans les cheveux, Mrza ! tempêta le chef. J’entendis quelques gloussements. — Ben, la bite à l’air, chef, vu l’endroit… tentai-je de me justifier.— Bouclez-la, vous dis-je ! Même la bite à l’air, un policier doit conserver son sang-froid ! J’aurais bien voulu le voir, moi, le chef, conserver son sang-froid entre les mains et sous la bouche de Camille ! — Vous étiez en mission spéciale, Mrza ! Une mission de confiance. Un coup de filet important à réaliser et que nous avons manqué par votre faute !— On a quand même arrêté…— Pas tout le monde, crétin ! Si vous aviez agi selon nos plans, en pensant avec votre tête au lieu de vous laisser gouverner par votre braquemart, nous n’en serions pas là. Toute la bande serait au gnouf à l’heure actuelle. Au lieu de ça, on a des blessés sur les bras, plusieurs de ces malfrats courent toujours et celui qui s’est fait descendre ne pourra plus jamais parler ! Quand le chef eut fini de me houspiller, il me montra la porte en me promettant huit jours de mise à pied mais en m’avertissant toutefois qu’il m’en cuirait si je n’étais pas présent à l’appel dès lundi, huit heures. Je passai le reste de la journée à me morfondre, ruminant mon incompétence et mon inutilité. J’avais pourtant bien manœuvré, en accord avec un plan longuement élaboré, et brillamment accompli la première partie de ma ...
    ... mission, qui consistait à m’introduire dans la boîte échangiste et à entrer dans les rangs des habitués. Ce n’est jamais très facile pour un célibataire, les couples étant plus aisément admis et chaleureusement accueillis, mais j’avais réussi mon approche en sympathisant avec Ghislaine et, par la suite, nous nous rendions ensemble au Trip Hot Club. En douce, j’avais pu mener ma petite enquête de l’intérieur et fournir à mes supérieurs les informations qu’ils espéraient ; et tout s’était déroulé à merveille jusqu’à cette soirée où je m’étais viandé lamentablement. Puisque j’avais donné le signal de l’assaut via un SMS discrètement envoyé depuis les vestiaires, j’aurais dû me tenir prêt à intervenir si nécessaire et, à tout le moins, me trouver à portée de l’objectif. Au lieu de ça, je m’étais si bien laissé emporter par ma libido que j’en avais négligé l’horloge et mes devoirs de flic au moment crucial. L’arrestation d’une partie de la bande et la saisie d’un joli stock de stupéfiants ne pouvaient suffire à faire oublier que la fusillade aurait pu être évitée ainsi que la mort d’un des malfrats et la fuite de quelques autres, sans compter les blessés et les traumatisés. Lorsque j’arrivai chez Ghislaine, le soir tombait. Elle ouvrit la porte et s’effaça pour me laisser entrer. — Je t’attendais plus tôt, fit-elle derrière moi pendant que j’avançais dans le corridor. Quelque chose me sembla soudain bizarre dans le son de sa voix ; et j’aurais dû être sur mes gardes en pénétrant dans ...
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