1. Première vraie rencontre


    Datte: 23/11/2017, Catégories: fh, hplusag, jeunes, extracon, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral fdanus,

    ... menthe glacée et revint s’asseoir à mes côtés. Bien qu’elle eût regardé autour d’elle en lançant sa réplique, je me sentais un peu visé, bien sûr, par le « vieux et bedonnant ». J’avais quinze ans de plus qu’elle et, bien qu’ayant un physique qui ne déplaisait pas aux dames, je n’avais pas franchement pas la taille mannequin. C’est donc le plus sûr de moi possible que je lui rétorquai qu’il allait falloir plus qu’une jolie robe pour faire tourner la tête à un homme mûr. Qu’il fallait par exemple savoir danser des danses d’un autre siècle que le sien, comme le rock ou la salsa ! — Alors vous allez m’apprendre ! répondit-elle du tac au tac. Ainsi commencèrent deux heures de danse très sympathiques. Nous fîmes de nombreux tours sur la piste, sur des rythmes que je ne maîtrisais pas tous, au grand plaisir acidulé de ma cavalière. Souple et légère, Julie se moquait gentiment de ma témérité chorégraphique, mais je riais au moins autant qu’elle. Nous bûmes aussi à la santé de nos conjoints respectifs, qui ne savaient pas ce qu’ils avaient perdu en n’étant pas là ce soir. Julie avait, elle aussi, des problèmes avec son copain du moment, pas assez mûr à son goût. Au fur et à mesure des danses, je m’enhardissais à des contacts plus francs et plus sensuels. Mon bassin se collait régulièrement au sien et, pour la guider, mes mains se posaient sur ses reins plutôt que sur son dos. Profitant toujours du prétexte de lui apprendre à séduire les « vieux » de la soirée, je lui conseillai ...
    ... aussi d’être plus lascive dans nos passes, ce qu’elle fit volontiers, absolument pas dupe de mon pauvre stratagème. En réalité, je bandais ferme et elle ne pouvait pas l’ignorer. D’ailleurs, je voyais dans ses yeux et sentais dans ses mouvements qu’elle aussi prenait un plaisir certain à tout ceci. Elle se frottait avec hardiesse à moi, autant que le contexte le permettait. Parfois dos à moi dans certains mouvements, ses fesses poussaient mes hanches qui revenaient de plus belles coller mon sexe sur son postérieur. Sentant que nous arrivions aux limites de la décence du lieu, nous profitâmes d’un changement de rythme pour retrouver un calme tout relatif et nous asseoir. Julie était essoufflée et troublée et moi au bord de l’explosion. Elle reprit un peu de punch glacé et croisa les jambes dans le bon sens, celui qui dévoilait sa cuisse. Il y eut une petite pause, puis elle lança les « hostilités ». — Eh bien ! Je n’aurais pas cru que vous auriez encore autant de ressources, vu votre grand âge ! Je la regardai sans bouger un cil. — Et moi, je suis assez déçu de voir qu’un rien t’essouffle… Je la déshabillai lentement du regard de bas en haut, et poursuivis : — La plastique paraît prometteuse c’est vrai, mais il faut plus d’endurance que ça, avec les vieux. Ils sont longs à se mettre en train et aussi longs à satisfaire. Nous étions à la limite entre la plaisanterie et la proposition sérieuse. Du coup, un vrai silence s’établit pendant plusieurs secondes, nous donnant sans doute le ...
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