Week end de sexe. Paméla - Histoires de Sexe

Week end de sexe. Paméla

... chambre, encore énervée. C’est mon mari évidement qui prend tout chaud. — Ce soir tu ne me touches pas. Quand je pense que tu as passé le début de soirée à lorgner les nichons siliconés de cette blondasse en manque.— Mais Karine…— Et toi, tout sourire, gnin gnin gnin…C’était hallucinant. Comment peux-tu être attiré par ce genre de femme ?— Mais Karine, elle ne m’attirait pas du tout, elle m’amusait.— Taratata. Tu crois que je ne t’ai pas vu lorgner sa petite culotte ?— Elle n’en avait pas. Punaise, pas de culotte pour aller dîner ! Quelle salope ! Elle avait prémédité son coup, elle voulait se taper mon mari dans les toilettes entre la poire et le fromage ! — Karine, ils ont la chambre à côté de nous, ils nous ont entendu faire l’amour ce matin, ça les a fait baver. Ils ont tenté leur chance.— Tu crois que c’est ça ?— Sûrement. Chut…. Ils sont sur leur terrasse. Écoute on dirait des claques et des gémissements.— Il est en train de lui taper dessus ?— À mon avis, Karine, ils sont plutôt en train de baiser. Ce doit être une levrette claquée.— Une quoi ?— Une levrette avec des claques sur les fesses en prime.— Quel intérêt ?— Cela fait jouir Madame plus vite….en général. C’est du sado maso.— Tu n’as pas intérêt à essayer.— C’est ce qui me semblait.— Elle a besoin de se faire taper dessus pour prendre son pied, c’est incroyable, il faut que j’aille voir ça, chuchoté-je, hilare, toute colère évanouie.— Karine ! Surtout ne te montre pas. M. muscle va te sauter dessus, je ne suis ...

... pas sûr d’avoir le dessus. Je m’approche sans faire de bruit. Réalisant qu’ils ne sont pas sur la terrasse mais dans leur chambre, lumière allumée, baie vitrée moitié ouverte, je fais signe à Pierre de me rejoindre. — Viens voir, c’est hallucinant.— Quoi ?— Il a une toute petite queue, ce type. D’énormes muscles et une zigounette de 10 cm, c’est à mourir de rire.— Karine, je m’en fous de sa queue.— Il doit être complexé, c’est sûrement pour cela qu’il fait de la gonflette.— Tu lis trop de magazines de psychologie chez le coiffeur.— Viens regarder Paméla, c’est trop drôle ! Ses gros seins pendouillent et se balancent dans tous les sens, elle est obligée de les tenir.— N’empêche qu’elle apprécie. Je l’écoute couiner.— C’est dingue, il la baise comme un automate, comme dans un film porno. Heureusement que tu ne me fais pas l’amour comme ça.— Il ne donne pas dans la tendresse, c’est sûr. Sans m’en rendre compte je pose ma main sur l’entrejambe de mon mari devant le spectacle. M. muscle se retire pour se la refroidir et lui rentre à la place trois doigts d’un coup. Surprise par le changement de calibre, la pulpeuse Paméla ose gémir de plaisir ce qui lui vaut aussitôt une nouvelle claque retentissante. — Il n’y va pas de main morte, commente Pierre, elle a les cuisses et les fesses écarlates.— Tais toi, écoute.— Plus c’est gros, plus t’aime ça, hein ? Tu n’es qu’une grosse truie.— Oui, Oui, continue… mets m’en quatre….plus profond….— Eh ? Que fais-tu ?— Tu le vois je baisse ton slip. ...