1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°796)


    Datte: 02/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Marion au Château – (suite de l'épisode N°790) – Après un dernier baiser sur le dos de la main qui portait désormais la chaîne qu’Il venait de m’offrir, il claqua la portière et retourna dans le Château après un sourire attendrissant tout en restant très solennel. La voiture démarra et quitta le Château … Le week-end était fini, je n’avais plus qu’à rentrer en Bretagne... Je roulais presque machinalement ! J’avais du mal à réaliser que ce week-end tant attendu, tant espérer, pendant si longtemps, était déjà fini ! Il était passé à la vitesse d’un rêve, et je me retrouvais actuellement comme quelqu’un qui avait beaucoup de mal à se réveiller et à garder les yeux ouverts ! Je retournais vers ma vie vanille, mais là, de suite, sur le moment, je la trouvais bien fade, en comparaison de ce que je venais de vivre ! Dès que j’arrivais sur l’autoroute, je m’arrêtais sur une aire de repos avec station-service, pris un bon chocolat chaud, retournais dans ma voiture, et je dus m’enrouler dans un plaid qui se trouvait à l’arrière. J’avais un peu froid sur moi et en moi ! Comment réussir à revenir à la vie normale après cela ?? De nombreuses fois, pendant ces trois années de virtuel avec le Maître, j’ai eu envie de remettre ma vie vanille en question. J’aimais mon mari, mais il ne me comblait pas. Nous nous étions installés dans la routine, les relations sexuelles s’étaient espacées, elles restaient banales, sans aucune fantaisie, limite plus par convention que par réelle envie où peu de ...
    ... désirs s’exprimaient. Il est vrai qu’avant que je rencontre le Maître pour la première fois, j’étais enceinte. Mon mari me voyait plus comme une future mère que comme une femme. Et puis il fut muté à Nouméa et je ne pus le rejoindre que quatre mois plus tard. Il n’appelait que pour prendre des nouvelles des enfants, nous n’avions pratiquement plus de sujets de conversations, à part les enfants et le boulot. J’avais de plus en plus l’impression de ne plus avoir grand-chose en commun avec lui. Mais son travail était prenant, il était souvent absent, quand il rentrait il était épuisé. Nous n’avions plus de temps juste pour nous. Il ne parlait jamais de ce qu’il ressentait, il devenait pour moi de plus en plus semblable à une huître, fermée et impossible à ouvrir, et pourtant renfermant une merveilleuse perle à l’intérieur. Avec ses filles il était merveilleux, attentionné, aimant, ce qu’il était de moins en moins avec moi. Après la naissance de la petite dernière, j’eus le baby blues, il ne sut pas me rassurer, m’aider à remonter. J’étais seule, loin de ma famille, de mes amis. Je rencontrais le Maître à ce moment-là. La soumission m’avait toujours attiré, mais j’avais rencontré mon mari jeune, et au vu de mon éducation, être attirée par le sexe, et pire par le monde chocolat était inenvisageable ! Mais là je me sentais tellement mal, tellement seule, que j’avais fait des recherches, et par hasard j’étais tombée sur les écrits de Monsieur le Marquis d’Evans. Etant très excitée ...
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