La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°796)
Datte: 02/07/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... arriver chez ma sœur qui gardait mes filles en l’absence professionnelle de mon mari et qui m’avait permis de passer deux jours avec le Maître. Et ensuite, il me resterait encore plusieurs heures de route pour me retrouver chez moi ! Au bout de deux heures d’autoroute, je fis de nouveau un arrêt sur une aire de repos. Alors même que je me garai devant un snack-bar, mon téléphone portable sonna, c’était le nom du Maître qui s’affichait avec un sms : - soumise Marion MDE, va te garer plus loin, sur le parking des camions routiers et ensuite, tu obéiras à tout ce qu’exigera l’homme qui est garer derrière toi, regarde dans ton rétroviseur et tu comprendras. Je veux une obéissance absolue, tu entends, j’ai dit ABSOLUE, je veux être fier de toi. Le Maître. J’étais saisie d’une incroyable stupeur ! J’étais déjà à plusieurs centaines de kilomètres du Château et voilà un ordre auquel je ne m’attendais absolument pas. Comment pouvait-il deviner que j’étais en train de me garer sur une aire de repos ! A moins que je sois pistée, me dis-je. Alors pour essayer de comprendre et pour obéir, au plus vite, je regardais dans mon rétroviseur intérieur pour reconnaître d’emblée, le visage du Majordome de Monsieur le Marquis, Walter, au volant d’une luxueuse voiture basse de sport et de marque Jaguar. Le domestique m’avait donc suivi depuis mon départ au Château sans même que je m’en aperçoive et devait donner des informations en temps réel à son patron, le Maître. Dans mon rétro, mon attention ...
... ne voyait que ses grands yeux noirs de Dominant qui me regardaient fixement et il avait un air impassible, froid, ne montrant aucune expression agréable. Je remis donc mon moteur en route pour aller me garer sur le parking des routiers, comme ordonné. A peine étais-je de nouveau garée mais cette fois derrière de gros poids-lourds, que Walter qui m’avait suivi, sortit calmement de sa voiture qui avait emboité le pas. Il ouvrit ma portière pour me dire sur un ton autoritaire, laconique et sans douceur : - chienne MDE, suis-moi et obéit. Je descendis donc de la voiture peu rassurée et tête basse, quand je suivis le Majordome. Me prenant par le bras avec énergie, il m’entraîna derrière de grands et longs camions cachant la vue sur les autres véhicules garés. Puis, il m’emmena encore plus loin dans un espace vert de pique-nique un peu isolé et à la pelouse souillée de détritus et de quelques vieilles capotes qui jonchaient le sol. Des arbres et des hautes haies imposants cachaient l’ensemble. Walter m’ordonna sur un ton sec de me dévêtir complètement. Tout d’abord, j’étais terrorisée par la situation mais la simple pensée des mots du Maître à montrer une obéissante absolue me rassura car les ordres sortis de la bouche du domestique venaient de ceux de Monsieur le Marquis. Je regardais donc si personne ne me voyait dans cet endroit au final bien à l’écart des curieux, grâce aussi aux camions faisant office d’un immense paravent. Tremblante un peu, je me mis donc nue en posant mes ...