La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°796)
Datte: 02/07/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... vêtements sur une table de pique-nique, un peu plus rassurée en pensant au Maître. Ensuite Walter sortit, du coffre de la Jaguar, plusieurs cordes et il m'attacha à genoux au pied d’un arbre, bras et jambes attachés derrière le tronc. Le Majordome me fixa un bâillon avec un cercle métallique creux qui obligeait ainsi ma bouche à être maintenue grande ouverte, en effet il s'agissait d'une sorte de cercle de fer qui fut fixé à mes lèvres et à mon menton, tandis qu'une lanière de cuir venait se refermer sur ma nuque. C'était comme un bâillon de métal, mais un bâillon ouvert. La façon dont il étirait ma bouche m'interdisait toute parole, mais maintenait ma bouche grande ouverte. Je respirais à grands coups et commençais à sentir ma salive couler abondamment.... Comme déjà dit, je suis évidemment totalement nue et j’avoue que cette situation me fit mouiller car l’obéissance absolue au Maître me transcenda littéralement, en effet rien que le fait de penser que j’obéissais parce que le Maître l’avait exigé me donna des ‘’ailes’’. Soudain, une urne est placée près de moi sur la table en bois. Puis Walter s’éloigna sans dire mot et je le voyais faire le tour des camions quand il revint une quinzaine de minutes plus tard avec une bonne vingtaine d'hommes baraqués et pour certain aux allures macho évidente. Ils se mirent les uns derrière les autres et tous peuvent chacun leur tour me baiser la bouche, se vider dans ma bouche ou sur mon corps, me caresser, me masturber, me torturer mes ...
... tétons dressés. Walter m'ayant ordonné auparavant de n'émettre aucun son et avec l'interdiction de jouir. Les hommes devaient payer selon comment ils ont apprécié mon corps, mes orifices en mettant une somme d’argent dans l’urne. Cela dura une bonne demi-heure quand ensuite Walter me détacha et me fit monter et me fit mettre à quatre pattes sur une autre table de pique-nique juste à côté de l’arbre: Le groupe d’hommes réuni autour de Walter avait fait mouvement et s'approchait de nouveau vers moi. Les hommes m'entouraient et ils laissaient leurs mains s'égarer encore sur ma chatte, mes seins ... Et Walter les encourageait encore et encore, afin de leur permettre de profiter au maximum de mon beau corps de femelle livré à leurs grosses mains calleuses. Walter donna une tape sèche sur ma croupe tournée vers l'extérieur. Celui qui était le plus près de Walter commença à m’attacher les membres en les reliant aux pieds de la table. Il maniait les cordes avec une agilité, une rapidité et une précision qui soulignaient une grande pratique et c’était à me demander si ce routier n’était pas un Maître du bondage ! Car en quelques minutes, j’étais totalement bondagée sur cette table, les membres liés, les cuisses largement écartées, positionnée en levrette, le visage, le torse et mes seins écrasés et plaqués contre le bois du plateau de la table, avec mes reins cambrés et ma croupe bien relevée. Immobilisée, j’étais devenue une parfaite offrande pour ces rustres hommes qui parlaient à ...